Parce que leur liens étaient plus fort que la raison, il ne pouvait vivre sans lui*, il avait perdu la moitié de son cœur. Si seulement il* pouvait revenir en arrière, le protéger de ce surplus de succès, parce que on ne voix pas les gens qui souffre, il* n’avait pas vu son frère souffrir de son absence, parce qu’il* ne s’occupait plus de lui, il* l’avait laissé seul, seul tomber dans l’oublie comme des souvenir que l’on met au fond d’une male au grenier. Parce que Bill ne vivait que pour le sourire de son frère, il ne voulait plus se sentir loin de lui. Parce que par des mots, simple par lesquels tend de fois il avait essayé de lui faire comprend son attachement et le besoin qu’il avait de l’avoir près de lui et non loin. Parce qu’il ne voulait que vivre à travers les yeux de son double, il avait tout fait pour se faire remarquer, quitte à prendre des risques inhumains. Mais lui* ne vivait que pour ses filles belles et que tout le monde voulait. Lui* ne comprenait pas que la seul chose que son frère voulait c’était un nouveau signe de vie de celui-ci*. Chaque jour il espérait que sa serai le bon mais chaque jour il s’endormait sans n’avoir rien changé. Jusqu’au jour pris de colère et de peine les yeux remplit de larmes, il ne chercha plus à comprend, il entra dans la chambre de son jumeaux, les yeux plein de noir, les dégoulinures de ses larmes sur la joue, qui avaient formé des lignes de couleur noir, continuaient à tracer les contours de son visage. Ses yeux brillaient dans la nuit et dans la peine-ombre, il n’aperçut presque pas le visage de celui qui lui ressemblait tend. Il resta debout n’osant rien dire. La voix de Tom se fut entendre dans un grondement, celui-ci prononça avec une rage à son frère de sortir de la chambre maintenant. Celui-ci entendit deux souffles celui de Tom et celui d’une autre personne. Parce que les mots de son double avaient été fort il se précipita dans la cuisine, il prit un lame, chose qu’il n’aurait jamais du faire, il s’avança pris un bout de papier sur la table et écrivit de sa plus belle écriture : Parce que un jour tu m’avais dit : que jamais tu ne m’oublierai, n’y me laisserai seul. Parce que tu n’as pas tenu ta promesse. Sur ces mots Bill posa le stylo sur la table, pris la lame froide dans sa main et la posa sur son avant bras, il la fut glisser fort sur celui-ci, une fois, deux fois, trois fois, quatre fois. Son sang coula sur son bras, il recouvra le tatouage gravé sur celui-ci, pris de vertige Bill tomba à la renverse sur le sol froid de la cuisine. Petit à petit la tache de sang se grandit, la vitesse de son souffle diminua de plus en plus, et dans un dernier souffle, il prononça le nom d’une seule personne, celui de ‘Tom*’.