Pour l'éternité

Bonjour je m’appelle Zoé, j’ai 17ans et je vais vous raconter mon histoire.

Tout a commencé il y a 1 an quand j’ai connu le groupe Tokio Hotel à la sortie de leur deuxième album « Zimmer 483 ». Je les ai connu a la télévision, j’étais en train de regarder une émission quand la présentatrice a présenter ce groupe. Ils ont passé un de leur clip, c‘était Ubers ende der welt. Des les premières note j’ai tout de suite aimé, puis quand Bill s’est mit a chanter, sa voix ma transporté, sa voix si douce, si envoutante… Je ne pouvais plus détacher mon regard de mon écran. Une fois la chanson fini, je suis allé sur l’ordinateur pour en savoir plus sur eux puis ensuite je suis allée au magasin acheté leur album. Je les aie écoutés encore et encore. Je suis allé les voir en concert puis je les aie rencontrés après avoir gagner à un concours.

Puis avec Bill on s’est revue plusieurs fois. Des sentiments sont arrivés. Puis ma vie a été bouleversée. Notre relation, notre amour a été dévoilé au monde entier.

Depuis ce jour, mon rêve s’est transformé en cauchemar.

Maintenant je suis debout, accrochées au mauvais coté de la barrière sur un pont. Mon visage est noyé par les larmes. J’en aie marre de tout : de cette vie, de ces sentiments, de ses journalistes.

Je sentis une personne s’approcher de moi, passer au dessus de la barrière et glisser sa main dans la mienne.

Même si je savais qui c’était, je ne pus m’empêcher de tourner mon visage brulé par les larmes vers lui.
C’était Bill.

Si tu pars, je pars avec toi… Je suis rien sans toi.

Je ne détachai mon regard de son visage. Je voulais m’en souvenir pour toujours. Ses traits fins si bien dessinés. Ses yeux noisette. Son visage angélique.

Je t’aime.

On fit un pas… Un seul… Le dernier…
On restera ensemble…Pour l’éternité…

Jamais je ne pourrais t'oublier

Toi
Le guitariste de mon groupe préféré,
Jamais je ne pourrais t'oublier.
Depuis le début je t'ai aimé
Alors que tu ne savais pas que j'existais,
Jamais je ne pourrais t'oublier.
Un jour je t'ai rencontré
Et tu m'as regardé,
Ce jour-la je ne savais
Que mon cœur allait sa brisé,
Jamais je ne pourrais t'oublier
De tout mon cœur je t'ai aimé.
Alors que toi jamais.
Entre nous il n'y avait qu'une amitié.
Aujourd'hui je vais m'en aller,
Jamais je ne pourrais t'oublier.
Plus que tout je t'ai aimé
Mais tu m'as abandonné,
Avec moi tu n'as fait que jouer
Mais je ne t'en veux pas, jamais,
Jamais je ne pourrais t'oublier
Tu m'as tellement fait pleurer
Mais aussi tellement rigoler.

Je te dis adieu,
Je n'ai plus la force de vivre
Je t'aime de tout mon cœur.
Ne m'oublie pas.
Une simple amie.

Les étoiles

Je me balade dans les rues de la petite ville dans laquelle je vis. C'est une ville qui est situé à l'est de la France en Haute-Savoie. Je me trouve à seulement quelques kilomètres de la frontière suisse. Dans cette ville il ne se passe jamais rien. C'est calme. Il fait un temps merveilleux et pourtant je suis la seule à être dehors. La seule à me promener. J'ai l'habitude d'être seule. J'ai toujours préférée la solitude. Beaucoup de personne en ont peur alors que moi je la recherche. Quand on est seul on peut faire beaucoup plus de chose que quand on est plusieurs. On peut aller ou bon nous semble, faire ce que l'on veut, dans le monde que l'on veut. Rien qu'avec le pouvoir de l'esprit et des rêves.
Tout le monde dit de moi que je suis une solitaire, une sauvage, mais je ne suis pas d'accord je suis juste une rêveuse. J'aime me plonger dans les songes. De là-bas la vison du monde n'est plus la même. De là-bas tout nos souhait peuvent se réaliser, il suffit juste d'y penser très fort. Assez parler des pouvoirs de l'imagination !
Je prends une rue perpendiculaire a celle que je traverse depuis une bon bout de temps puis encore une autre. Cette deuxième avenue me ramènera directement chez moi.
Je viens seulement de me rappeler que je ne me suis pas présentée. Je m'appelle Veronica et j'ai 18 ans. Je ne vais pas vous dire comment je suis. Je suis ce que tu veux que je sois. Je suis dans ton imagination il ne faut pas l'oublier. Si tu le veux tu peux me voir petite ou grande, mince ou grosse, les yeux bleu, marrons, vert ou même violet si tu le désire. Je n'en dirais pas plus sur moi car j'arrive enfin devant mon portail. Je l'ouvre et entre. Mon chien qui attendait tranquillement allongé dans l'herbe vient a ma rencontre. C'est une femelle et elle est d'une race d'un petit chien. Pour elle non plus je ne donnerais pas de description, c'est à toi de te l'imaginer comme tu le veux. Noir, marrons, blanc ou même bleu avec des pois rouge si tu en as envie. Laisse cour a ton imagination. Alors j'arrive devant les escaliers qui mènent à la porte d'entrée. Je gravis ses huit marches en pierre d'une couleur orange pale. Arrivé à la porte je baisse la poignée et entre. Après avoir traversé l'entrée je me retrouve devant le salon. Ma sœur se trouve allongé dans le canapé en train de regarder les dessins animé à la télévision. La non plus je ne te la décrirais pas. Je te laisse l'imaginer. Tout ce que je peux te dire c'est qu'elle est un peu un garçon manqué. Après je te laisse te la représenter comme bon te semble. A coté du salon se trouve un escalier qui mène aux chambres et à la salle de bain. Je commence à monter les sept premières marches qui composent le premier escalier. Puis je monte les dix autres marches qui composent le deuxième. La première porte de droite est ma chambre. Mon nom est écrit dessus. En grand et de tout les couleurs. A coté il y a une autre porte qui mènent a la chambre de ma sœur. Son nom est aussi écrit dessus. En face il y a la salle de bain. J'ouvre la porte de ma chambre et entre. Cette pièce représente mon univers. A coté de la porte du coté droit il y a mon lit et en face la fenêtre, ou a coté il y a mon bureau. Sur les murs sont accroché huit ans de ma courte vie. Huit ans de ma passion. Huit ans à croire que la vie est faite de crayon et de feuille. Huit ans de dessin. Je m'allonge sur mon lit et me plonge dans mes pensées. Je pense a une personne que j'ai aimé autrefois. A cette époque j'aurais fait n'importe quoi pour qu'il m'accorde un regard ou encore mieux qu'il vienne me voir. Mais sa n'est jamais arrivé et sa n'arrivera surement jamais. Surtout pas maintenant. Il n'en a rien à faire de moi j'en suis sure. Pour lui je ne suis qu'une fille parmi tant d'autre; quelqu'un d'invisible, sans importance. J'aimerai tant qu'il m'aime. Combien de fois j'ai espérer sa ? Combien de fois j'ai fait le vœu qu'il ait des sentiments pour moi ? Je ne saurais le dire. Je n'ai pas assez de mes dix doigts pour compter. Je l'aimais tellement. Comme on dit aimer en secret c'est souffrir en silence. Cette phrase je la connais et je peux dire que c'est vrai. Un an. Je l'ai aimé pendant un an sans qu'il le sache. On dit toujours que l'espoir fait vivre mais pour moi dans cette situation l'espoir était comme un poison. Il vous détruit de l'intérieur. Physiquement personne ne pouvait voir que je souffrais et personne ne le savait. Si tu as fait attention tu as du remarquer que j'ai dite ces dernière phrase a l'imparfait. En effet je l'aimais. Mais un jour il la changé et il n'a plus jamais été le même. A partir de ce jour mon regard sur lui a radicalement changé.
Je sors de mes pensées subitement; c'est la sonnette de la porte d'entrée qui en est la cause. Qui peut bien venir ?
Ma sœur m'appelle. Apparemment la personne qui est venu veut me voir. Je descends à toute vitesse les marches qui me séparent de l'entrée. Arrivé en bas, j'ai la surprise de ma vie. La personne a qui je pensais il y a quelques instants et la devant moi. Lui non plus je ne te le décrirais pas. C'est encore à toi de faire ce travail. Je ne peux te dire qu'une chose c'est qu'il s'appelle Mickele et qu'il est très grand. Au moins dix centimètres de plus que moi.
"Salut Veronica", me dit-il tout doucement.
"Salut qu'est ce que tu fais ici ?"
"Je voulais simplement te voir tu es très jolie aujourd'hui!"
"Pourquoi t'es si gentil avec moi ?"
En effet ce n'est pas trop son genre. Comme je l'ai dit il y a peu de temps il a changé. Il est devenu agressif il n'a plus jamais été gentil avec personne et surtout pas avec moi.
"Je le suis pas d'habitude ?"
"C'était il y a longtemps... Pourquoi ?"
"Parce qu'il est temps de rallumer les étoiles ?
"Quelles étoiles ?"
"Celles qui brillaient dans tes yeux quand tu me regardais..."
Je le vois se rapprocher de moi. Il n'est plus qu'a quelque centimètre. Maintenant il est si proche de moi que je peux voir avec précision les moindres traits de son visage. Je peux même sentir son souffle dans mes cheveux. Ses yeux sont plantés dans les miens. Même si je le voulais je ne pourrais pas détourner le regard. Mes yeux sont captivés par les siens. Il commence à rapprocher son visage du miens. Il vient soulever mon visage vers le sien avec les deux doigts de sa main droite qui ont trouvé leurs places sur mon menton. Son visage se rapproche de plus en plus du mien. Mes yeux sont toujours en émerveillement face aux siens. Ses lèvres se rapproche de plus en plus jusqu'a toucher les miennes. Ses lèvres sur les miennes sont si douces.

un peut long j'ai pas le temps pour tout lire lol

sa yest g tout lu enfin c'etait super

coucou , c clr j'adore tes os si t'en n'a d'autre met les surtt !!!! ^^

merci bocoup
je suis super contente qu'ils vous plaise
je suis en train d'en écrire une des que je l'ai fini je la poste !

Ouai !!

Et voila je me suis décide a recommencer à écrire.
Voila un nouveau OS :

Comment lui dire ?

http://fr.youtube.com/watch?v=zSMKPPBhkE8

Je marche... Pas après pas... Je m'éloigne de cet endroit... Cet endroit où vis quelqu'un... Quelqu'un qui m'a tellement donné... donné ce que je ne voulais pas... Je m'éloigne... En courant... Je parcours une rue... Puis deux... Puis trois...
Je sens l'air frais s'introduire dans mes poumons.
La rue que je traverse se fond pour en former une autre. Ma rue. Celle ou je vis depuis deux ans... Deux ans que je suis ici... Déjà deux ans... Le temps passe si vite.
730 jours même plus que je vis dans les montagnes. Au début, quand je suis arrivée, je me suis dis que jamais je ne pourrais vivre ici, loin des grandes villes - à plus de 200 kilomètres de la grande ville la plus proche... Mais en venant ici je n'aurai jamais cru que je pourrais aimer a ce point.
Eh oui, on peut trouver l'amour partout... Voila maintenant deux ans que je le connais et un an que je l'aime.
Déjà un an... Un an qu'il fait battre mon cœur... Un an que tous les jours il est dans mes pensées... Un an que toutes les nuits il est dans mes rêves.
Avant je le voyais tous les jours. C'est un petit peu normal on était dans le même collège et dans la même classe. Mais bon tout le monde grandit... Personne n'échappe au loi de la nature... On a grandit... Maintenant on est au lycée... au lycée mais malheureusement pour moi pas dans le même...
Je me suis dit qu’à plus le voir, je finirais par l'oublier mais je me rends compte maintenant que je ne le pourrais jamais... Il est trop profondément encré dans mon cœur...
Je suis maintenant devant chez moi. Je rentre et je me réfugie dans me chambre... Ma chambre... L'endroit rien qu'a moi... L'endroit qui connait tous mes secrets...
Il y a maintenant une quinzaine de minutes, je viens d'avouer a la personne qui occupe la plus grande partie de mon cœur a quel point je tiens a lui.
Sa réaction... Je ne sais pas... Il va peut-être être content... Ou en colère... Ou déçu... Je n'en sais rien...
Tout ce que je peux vous dire c'est que je stress. Je commence même a regretter mon geste... Pourquoi... Je ne sais pas.
Peut être parce que j'ai peur... Peur qu'il ne m'aime pas...
Je lui ai avoué mes sentiments dans une lettre... Je sais que c'est un peu nul mais bon lui dire en face j'aurai jamais pu.
Voila ce que disais cette lettre :

Si tu reçois cette lettre c'est que j'ai eu le courage de te l'avoir envoyé.

Je sais pas quand tu vas lire cette lettre mais quand je l'écris on est le 16 novembre. Hier une amie m'a parlé de toi. Elle m'a dit que je pouvais pas garder ça pour moi. Que je devais te le dire, si tu le sais pas déjà. Je l'ai assez mal cacher mais je sais pas si l'as vu.
Je suis nul pour exprimer les sentiments et je me demande encore comment j'arrive à écrire. Tu as surement deviné ou je veux en venir.
Je n'aurai jamais cru que je pourrais, un jour, te regarder avec ses yeux-la.
Non je n'ai pas ressentie de coup de foudre. Pour être franche au début je t'aimais vraiment pas.
Mais le temps tes sourires, tes regards...
Et puis mon cœur a chaviré.

Vous en pensez quoi ??