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[O.S en 3 partie] Obéssion Baaaaa10





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 [O.S en 3 partie] Obéssion

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[O.S en 3 partie] Obéssion Vide
MessageSujet: [O.S en 3 partie] Obéssion   [O.S en 3 partie] Obéssion Icon_minitimeJeu 23 Juil - 6:35

1er partie Obsésion
Beau, oh oui beau est le mot juste pour d’écrire le jeune homme, debout devant sa fenêtre, les yeux fixer sur l’objet de ses désirs. De long cheveux noir et raides tombent sur ses épaules, une silhouette longue et fine, des mains parfaitement manucuré, des yeux noisette, profond et expressif maquillé d’un crayon noir réglisse. Un soupire s’échappe de ses lèvres parfaitement dessiné et l’une de ses mains fines viens passer dans ses cheveux d’eben. Il la regarde, elle, elle et sa beauté, elle et son sourire, elle….son rêve et son cauchemar tout à la fois. Le clic caractéristique d’un appareil se fait entendre et l’androgyne regarde le résultat en souriant, une de plus pour a collection, le plongeant encore plus loin dans son monde, dans son obsession. Elle disparaît de sa vue, il grogne et se retourne, pose l’appareil sur une table haute et se dirige d’un pas fier et confiant vers la porte.
-Pas encore!
Il sort de son petit appartement et ne prend même pas la peine d’attendre l’ascenseur, il s’élance dans les escaliers. Les talons de ses santiags claquent bruyamment contre les marche de métal, sa main frôle à peine la rampe lui gardant un équilibre précaire. Il traverse le grand hall rapidement, tout les regards se tournent vers lui, les autres résident ont beaux l’avoir vu des centaines de fois aucun ne s’habituent ni à sa beauté, ni à son look. Il sort enfin à l’air frais et une légère brise viennent soulever ses cheveux et le fais frissonner, sa simple veste de cuir noir ne le protégeant pas vraiment de la froideur de l’automne. Il avance rapidement sur le trottoir, contournant les passants qui lui lance parfois des regards haineux, certain curieux mais es plus fréquents sont les envieux, qui ne voudrait pas être une tel beauté. Il traverse à une intersection et fonce directement vers un grand parc, superbe étendue verte au milieu de se monde urbain. La voila, juste là assisse sur ce banc à rire avec….qui c’est celui là. Une vague de jalousie excessive le submerge, ses joues s’empourpre et ses poings se serrent. Il se forcent à prendre une grande inspiration et à reprendre un air digne. Il s’avance vers le banc, son cœur bat à tout rompe…mais pourquoi est-il nerveux, c’est tout bon, elle est déjà folle de lui, ce mec n’est que de la merde à côté de lui. Elle est à lui, seulement à lui, personne d’autre n’a le droit de l’approcher, elle n’a besoin que de lui pour être heureuse, il le sait, c’est la même chose pour lui. Il se plante devant eux, elle lève lentement la tête vers lui, il sent son regard vert émeraude lui brûler la peau, douce torture. Elle entrouvre ses lèvres pulpeuse et son nez fins se froncent.
-Oui?
-Bonjour. Ça va bien?
-Euh oui…
Elle le regarde encore un peu avant de tourner la tête vers le jeune homme près d’elle. Il reste planté là à les regarder, elle l’ignore, ce n’est pas possible, elle ne l’a jamais ignoré. Tout les regards qu’ils ont échangé, tout ces sourires et ces moments, c’est comme si elle avait oublié.

Non elle n’a pas oublié, elle n’a rien à oublié puisqu’ils ne se connaissent pas, ils ne se sont jamais parlé. Elle ne lui à jamais sourit ou si elle l’a fait c’était un sourire de politesse simple. Il est fou? Non il n’est pas fou mais il y a quelque chose, il croit la connaître, il croit l’aimer, il croit qu’elle l’aime. Depuis qu’il l’a vu dans ce restaurant il ne vie que pour elle, par elle mais il ne vois pas, il ne comprend pas. Bill, cher Bill ne vois-tu pas que tu es malade? Que tu as besoin d’aide…

Il reste planté là, ce n’est pas possible qu’elle l’est oublier, elle fait sans doute semblant pour ne pas rende l’autre mec jaloux. Oui ça doit être ça, elle n’ose pas le quitter pour aller avec lui, il se demande bien pourquoi, il vaut bien mieux….pas vrai? Elle lève de nouveau les yeux vers lui et se tourne vers le jeune homme qui fixe son regard meurtrier sur l’androgyne. Bill recule d’un pas, se retourne et pars, en colère, triste et confus. Il fait le chemin inverse d’il y a quelques minutes mais cette fois plus lentement, plus discrètement. Il entre dans son immeuble et cette fois se dirige vers les ascenseurs, il appui sur le bouton, les portes s’ouvrent presque tout de suite et il s’engouffre dans l’étroite cabine. Il s’appui au mur du fond en soupirant, ses mains se porte à son visage et il lâche un petit cri de colère. Il entra d’un pas rageur dans son appartement, la porte claqua violemment il jura.
-Ben ça va pas?
Il sursauta et se retourna d’un bond, une main sur le cœur.
-Bon sang tu m’as fait peur! Qu’est-ce que tu fous ici?
-Je suis venue voir mon petit frère tien. Tu étais ou?
-Parti marché…
-Ah tu a été voir ta mystérieuse fille. Tu me la présente quand d’ailleurs?
-J’en sais rien, bientôt.
Le brun passa près de son frère et s‘empara vite de l’appareil qui traînait pour le glisser dans un tiroir d’une commode, il n’avait pas envie d’entendre de questions. De son côté le dreadé réfléchissait à toute vitesse, comme chaque fois qu’il voyait son frère c’est temps-ci. Bill lui avait toujours présenté ses copines et ce le jour-même mais là…cela fait une éternité qu’il parle d’elle mais ne lui présente. Autre chose cloche selon lui, Bill parle toujours d’elle, de son surire, de quoi elle à l’air mais jamais de ce qu’elle dit, de ce qu’elle fait. Il trouve étrange le comportement de son frère, lui qui est habituellement jovial, social et drôle est maintenant renfermé sur lui-même, grognon et susceptible. Le plus vieux de dis minutes rejoignit son frère sur le sofa.
-Tu es sur que ça va?
-Je te dis que oui?
-Vous vous êtes disputé?
Il tentait, malgré ses quelques doutes il ne voulait croire que Bill lui mentait.
-On peut dire ça ouais.
-Oh vous n’avez pas rompu quand même.
-Non, non….juste, oh et puis ça te regarde pas!
L’androgyne se leva d’un bond et s’enferma dans sa chambre en claquant la porte, laissant son frère sous le choc et insulté. Le dreadé se lève d’un bond et sort comme une furie, claquant violemment a porte, le plus jeune peut l’entendre dévalés les escaliers à toute vitesse….mais qu’a-t-il fait….


À partir de ce jour l’androgyne retourna tout les jours au parc, saluant la jeune femme qui lui rendait un salut polie sans pour autant le regarder ou s’intéresser à lui. Cette situation mettait de plus en plus le beau brun en colère, surtout que son frère semblait l’avoir complètement abandonné. Ils ne se parlaient plus depuis l‘évènements, pourtant ils avaient surmonté pire crise alors pourquoi cette fois cela ne s’arrangeait pas. Bill ne voulait pas voir que c’était de sa faute, que c’était lui qui s’était éloigné peu à peu de son frère pour finalement complètement cassé le lien qui les unissait.
Cela faisait maintenant une semaine que Bill se morfondait chez lui, entre le par cet ses moments de solitude son moral n’avait pas vraiment le temps de remonter. Et en ce dimanche matin il en à vraiment marre, il va aller lui dire qu’il n’apprécie pas trop qu’elle l’ignore comme ça, après tout ils s’aiment, ils ont vécu de belles chose.

Le retour à la réalité risque de faire mal Bill, elle ne te connaît pas, vous n’avez rien vécu, la descente seras raide.


Le beau jeune homme jette un coup d’œil par la fenêtre, elle est là comme à son habitude et marche vers le parc. Il ne peut s’empêcher de rester quelques secondes à la regarder, il aime la façon qu’elle marche, son léger déhanchement mais jamais rien d’exagérer ou de vulgaire. Elle disparaît de sa vue et il s’élance hors de sa chambre, il dévale les escaliers en courant et traverse le hall à grande vitesse. Il débouche le trottoir, bouscule quelques passant au passage avant d’enfin se retrouver à l’entrée du parc. Il reprend son souffle, les mains sur le genoux, le corps légèrement penché en avant. Il se redresse d’un coup et marche d’un pas ferme vers le banc ou elle s’assoit toujours, il l’aperçoit, un roman à la main et des écouteurs dans les oreilles. Elle ne lève les yeux que lorsqu’elles aperçoit deux basket blanche et noir, son regarde vert se pose sur lui et il sourit. Elle retire ses écouteurs et le regarde en silence.
-Bonjour.
-….bonjour…
Il ne comprend pas, elle est seul cette fois alors pourquoi elle le regarde à peine, pourquoi elle hésite? Ils ont enfin la chance de se retrouver seul et elle regarde ailleurs.
-Je peux te parler?
-De quoi?
-Ben de toi et moi.
-Toi et moi? Désolé mais de quoi tu parle, on ne se connaît même pas!
-Quoi? Mais je suis Bill, tu me connais!
-Non je ne connais aucun bill.
-Tu te moque de moi?
-Non je dirais plutôt que c’est toi qui se moque de moi.
Elle se lève d’un bond pour lui faire face.
-Je te connais pas ok. Tu es là tout les jours à me faire signe comme si on se connaissait. Je sais pas qui tu es mais arrête ça ok. Je te préviens que si tu reviens encore me voir j’appel la police pour harcèlement!
-Mais que…enfin…on se connaît….on s’est rencontré dans ce resto et…
-Quel resto? Va te faire soigner bon sang! Tu fais peur!
Tu fais peur….peur…elle a peur de lui….son frère l’a abandonné, il ne sort plus….mon dieu se pourrait-il qu’elle est raison…
Il se retourne et se met à courir à un vitesse folle, il trébuche et passe près de tomber à de nombreuse reprise. Il bouscule des passant se fait presque percuté en traversant la rue mais il court, il n’arrête pas. Il passe devant son immeuble s’en même le regarder et continue son chemin. Il aperçoit enfin son but, une grande bâtisse blanche entouré de haut mur de pierre, et de porte grillagé. Il se précipite vers l’immeuble sans tenir compte de gardien de sécurité qui lui cri d’arrêter et entre. Il se retrouve dans un grand hall entièrement blanc, quelques tableau abstrait accroché de-ci de-là, il s’avance vers la réception.
-Que puis-je faire pour vous?
-J’ai besoin d’aide! Aidez moi!
Et il s’effondre.
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