Sa bouche court sur son ventre, effleurant son pubis, mordillant ses seins, mordant sa peau.
Il pose ses mains sur ses cheveux et les caresse.
Elle le retourne sur le ventre.
Son sexe dur de désir lui fait mal.
Il sent le sang battre dedans comme un marteau qui tape sur du métal.
Elle laisse ses mamelons durs lui chatouiller le dos.
Elle glisse ses doigts entre ses cuisses et leur fait faire des arabesques sur sa peau.
Il n’en peut plus !

Et puis elle le fait basculer sur le dos et sans rien demander glisse son sexe dans sa bouche.
Mon dieu !
Il savait que ça pouvait être fantastique mais là, il ne saurait même plus dire comment il s’appelle !
Il a l’impression de ne plus avoir de corps, de n’être plus qu’un ... sexe !
Cette chaleur qui l’inonde.
Cette pression qui va et vient.
Ces doigts qui le tiraillent.
Cette langue qui se démultiplie.
Il attrape ses cheveux et la redresse de force.
Il ne veut pas vivre cette jouissance seul.

Alors il l’attrape par les hanches et l’empale sur lui.
Elle pousse un cri de plaisir.
Il croise ses jambes sous ses fesses (à elle) et se faisant face, il l’aide à monter et descendre.
Elle le couvre de baisers, lui offre ses seins à embrasser.
Et puis elle bouge son bassin : d’avant en, arrière, de haut en bas, en faisant des ronds. Dans un sens, dans l’autre.
_ AAAAAAAh !
Une fois encore, ils se retrouvent au nirvana en même temps.