hey hey!! ma louloute qu'est-ce que j'aime!! je veux la suite et vite!! trop pressé de connnaitre la suite!! bisous chteime fort

oOoOoO la suite pour mes lectrices, je vous SURlove OoOoOo

Moi : Tu dors avec moi ce soir…
Tom : c’est une évidence non ?
Moi : Je préferais m’en assurer.

Tom s’approcha dangereusement de moi, m’attrapa la main et m’entraîna dans ma chambre. Il lâcha ma main, et, me plaquant contre son torse, m’enveloppa dans ses bras. Ses lèvres se rapprochèrent lentement vers les miennes. Quelques secondes plus tard, elles fusionnèrent. Le contact de son percing glacé me fit frissonner d’intense plaisir et tout en continuant à m’embrasser langoureusement, il m’attira sur le lit. En quelques seconde, je me retrouvais allongé sur lui. Je resserrai mon étreinte, et ses mains caressèrent mon visage, descendant de plus en plus bas. Ses mains glissèrent le long de mes bras, de mes côtes, s’arrêtant sur mes cuisses. Sa respiration s’accélérait. De nouveau, sa langue rencontra la mienne, et il roula lentement de façon à se positionner sur moi. Ses mains ne cessèrent de se balader, montant de mes chevilles à l’intérieur de mes cuisses. Il me débarassa tout d’abord de la veste en cuir d’Enzo, qu’il m’avait enfilé. En l’enlevant, je lui fis un sourire et il me chuchota : « cette veste me révulse. Sa mauvaise odeur couvre celle que j’aime, la tienne. Je lui déposa un baiser dans son cou pour lui montrer ma satisfaction. Puis il ôta sans difficulté mon tee-shirt. Lorsqu’il fit ce geste, je mis fin à notre baiser sensuel et le repoussa.

Tom : qu’est ce qui t’arrive mon amour ?
Moi : …

Tom me regardait intensément.

Moi : Désolé, je…je ne peux pas. Après ce qui s’est passé ce soir…
Tom : Excuse moi. J’aurais dût m’en douter. Ne t’inquiète pas, on attendra.
Moi : Merci. Je t’aime, Tom.
Tom : Et je dois aussi cesser de t’embrasser… ?

Tom me dit cela avec un sourire charmeur. Il connaissait la réponse, mais en guise de confirmation, je me pencha sur son visage et déposa sur ses lèvres un baiser chaleureux. Sa langue et la mienne ne cessaient de se rechercher, de se caresser. J’aurais aimé que ce baiser ne se termine jamais. Je me blottis de nouveau contre Tom, et m’endormis. Les jours passèrent, et se ressemblaient tous. Tom et moi avions été rassuré d’apprendre que malgré la non-protection de mon ex-petit ami, je n’étais ni enceinte, ni victime de MST. Nous passâmes donc d’agréable moment Tom, Amélie, Bill et moi. Les complications arrivèrent un peu plus tard dans la semaine. C’était un samedi matin. Je dormais paisiblement dans les bras de mon homme, lorsque le téléphone sonna. Tom dut me brusquer un peu pour que je daigne à me lever.

----------> toujours la suite ? <----------

bah bien sur que oui je veux toujours la suite nan mais la question se pose meme pas

je veux savoir se que s'est se "problème" c'est qui qu'a appelé Tom je veux savoir mwa

ahhhhhhhhhhhhhh charlène!!!!!!! tu viens de me remonter le moral si je te jure je veux une suite stop plait!!! j'aime trop ta fic c'est tropp passionnant !mdr bisous chteime fort

J'ai ratraper mon retard, alors c'est qui qui téléphone et qui les dérange pendant qu'ils font un gros dodo !!

SUITEEEEEE !!!

Moi : Mmm, allo ? ah, maman. Oui, c’est moi, qui d’autre ça pourrait être ? Oui, tu me réveille. Je suis pas du tout de mauvaise humeur. Mmm. Cette après midi ?!?!? euh, si, ça me fais plaisir. D’accord, bonne route. A cette après midi.

Je raccrocha et poussa quelques injures dans la maison. Bill sortit de sa chambre et vint à ma rencontre :

Bill : Sympa le réveille. Dés le matin tu gueules, pense un peu à ceux qui dorment !
Moi : Va te recoucher, si t’es de mauvaise humeur comme ça, c’est pas la peine de venir.
Bill : Parce que c’est moi qui suis de mauvaise humeur ? C’est toi qui gueule, on t’as rien demander nous ! Plain toi dans ta tête et fais pas ch*** !
Moi : c’est ça, « va te jeter sérieux ». Tu me soule.

Alors que je lançais un regard noir à Bill, Tom fit son apparition.

Tom : C’est dingue ce que vous pouvez être d’humeur massacrante le matin. On dirait que vous aller tuer quelqu’un.
Moi : Puisque Bill se fiche de savoir ce qui me met dans cet état là, alors tant pis ! Enfin non, je vais quand même le dire. Je ne peux plus vous héberger, mes parents rentrent dans le courant de la journée !

Un silence régna dans la pièce.

Bill : de toute façon, on devait rentrer en Allemagne. Pour notre groupe.
Tom : Je rêve, ou tu prend les décisions seul maintenant ?
Bill : Je suis désolé Tom, mais tu sais autant que moi à quel point ce groupe est important.
Tom : Alors, elle vient avec nous.

Tom prononça cette phrase avec détermination, tout en me désignant du regard.

Moi : Si seulement.
Tom : Pourquoi pas ?
Moi : J’ai 16 ans. Ma mère me laissera jamais partir de la maison. Même avec celui que j’aime. Et même si elle le voulait, moi je ne l’accepterais pas.

Tom resta de marbre en entendant cela. A quoi il s’attendait ?

Moi : Je veux être dépendante Tom. Si je pars avec toi maintenant, je vais devenir quoi ? Je veux gagner moi même ma vie. Rester dans ton appartement à te préparer à manger et à te faire le ménage tandis que toi tu ramène de l’argent, ça ne m’interesse pas. Je ne veux pas être dépendante de toi. Je veux travailler, gagner ma vie par mes propres moyens.
Tom : Tu pourras travailler là bas.
Moi : remet les pieds sur terre. Non je ne pourrais pas travailler. Il est déjà difficile, voir impossible de trouver un bon travail en France à 16 ans, alors dans un pays étranger ? non, ça ne marchera pas.
Tom : Alors on casse maintenant. Je rentre en Allemagne, et tout comme tu n’entends plus parler d’Andréas, tu n’entendras plus parler de moi.

c'est quoi ce bordel il a pas interet a lâcher ma p'tite charlène le "p'tit" Tom parce que sinon il va en prendre pour son grade

la suite stppp j'adore trop

haaaa non la sa va pas le faire srx mais en allemagne tu trouves tout alors la chtite charléne elle va partir en allemagne sans discuter c'est clair ??
roooo puis kaka !!

faut que je me calme ... bon SUITE
c'est trop bien

dis donc il est pas ch**z le ptit tom,laisser charlene toute seule!!! je veux la suite stp jtm444 bisous

ahhhhhhhhhhhhh bouhhhhhhhhhhhh merci charlène tu vien d eme faire déprimé la! mdr suite suite suite!!! chteime for

hannnnnn
je suis choquée!!!
je suis pas d'accord!! faut trouver une solution là!!!!!
je veux la suite ma chérie!!!!!
gros bisous jtm ma chachou

Ah non !! C'est quoi ce caca nerveux qu'il nous fais Tom là !

Il va pas faire ça quand même !

Vite la suite !

Comment cette phrase a t-elle pu sortir de sa bouche aussi facilement ?

Moi : C’est ça que tu veux ? Alors okay, on casse.
Tom : p***** mais non je ne le pensais pas !

Tom me prit par la taille et m’attira vers lui. Il allait m’embrasser lorsque je tournais la tête.

Tom : Qu’est ce qui te prend ?
Moi : On a rompu, non ?
Tom : je viens de te dire que je ne le pensais pas !
Moi : Et bien, moi je pensais ce que je t’ai répondu.

Tom resta un moment à me regarder, puis il ajouta «si c’est ce que tu veux… » avant de quitter la maison en claquant la porte. Son frère, après m’avoir promis qu’il ramenerait Tom, partis sur ses traces. Mes yeux restèrent fixé sur cette fichu porte, les larmes me montèrent, et sans me contrôler, je criai « Tom ! »
Je me laissai tomber au sol, les mains sur le visage. J’éclatais en sanglot.

[ Point de Vue : Tom ]

J’arpentais la ville, à traîner les rues et les cafés. Je suis là, assis devant un comptoir, à vider les verres les uns après les autres. Je me serais bien fumer une dernière cigarette, mais je les ai oublié chez Charlène. Espérons que Bill me les ramène. Je me fis servir un autre verre, et ingurgita le contenu. Une jeune fille, blonde s’approche de moi. Coller à moi, elle me propose un autre verre.

Moi : Hm, tu n’as pas autre chose à me proposer…
Elle : Et bien, je dois avouer que tu es très attirant, ça me plairait bien de passer un peu plus de temps avec toi, de « faire connaissance »

Nous partîmes tout les deux hors du bar, pour se retrouver dans son appartement. Là, elle verrouilla la porte derrière nous, et se colla de nouveau à moi. Son teint et ses yeux montrait qu’elle n’était pas très « clean . » Je m’empara de ces côtes, et la colla plus à moi. Ondulant du bassin, je la déshabillais et la laissait retirer mon tee-short, jusqu’à ce qu’elle fis glisser mon boxer. Là, je la coucha sur le divan, et me positionna au-dessus d’elle. Notre ébat fut de courte durée, et après que nous nous soyons rhabiller, je regagna le bar. La jeune fille, dont je ne connaissais même pas le nom, resta chez elle. Au bar, Je repris deux ou trois verres, lorsque j’entendis une voix familière :


.. ?!? : Hum, t’es dans un de ces états toi…
Moi : Lache moi Bill !
Bill : pfiou…bon allez, on rentre.

Bill me prit par le bras et m’entraîna vers la sortie.

Bill : Et ben, t’as pas ménager sur l’alcool frangin…Bref. On rentre. Chez Charlène.
Moi : On a rompu !
Bill : J’ai entendu la discussion…
Moi : Ah parce que mon propre frère nous a espionné ?
Bill : Disons plutôt que vous ne chuchotiez pas…enfin, peut importe.

Bill me traina jusqu’à la maison de Charlène, et une fois arrivée, il frappa. Nous attendîmes quelques minutes à la porte, et personne ne répondait. Bill frappa de nouveau, pas de réponse. Je posais ma main sur la poignée, la baissa et fût soulagé de constaté que la porte n’était pas verrouillée. Nous rentrâmes dans la maison. Aucune lumière n’était allumé. Bill l’appela à plusieurs reprises, sans réponse. Je m’affalais sur le canapé, lorsque j’entendis bill pousser un injure.

vite suite pourquoi il pousse des injures ?? je veux savoir

ah qu'est-ce que tu t'es fais faire?!(elle a un snes ma frase ^o) mdrr)
trop pressé de connaitre al suite stp louloute bisouille je t'aime fort

qu'est ce qui va se passait mais je veux savoir mwa

bon la suite stp

bisouxx

Oh non, il a pas fait ça Tom quand même, il a s*uter l'autre ***e !
Désolé mais trop pas contente moi !

Et pourquoi il hurle comme ça, je suis sûre qu'elle a fait une connerie !

Pour quelqu'un qui a pas d'inspiration je trouve ça plutôt réussi !

chachouuuuuuuuuuu!!!!
je veux la suite!!!
je peux pas rester sur cette dispute!!!
et puis pourquoi il cri bill??????*

gros bisous jtm supe fort

« Tom,
Il est 22 heures passées, je m’inquiète de ne pas savoir où tu es parti. En ce qui me concerne, je n’ai pas pu rester ici. Ne cherche pas à savoir où je suis, ça t’énerverait de trop. Je t’écris cette lettre, mais peut être n’es-tu pas revenu me voir. Peut être es tu vraiment parti, pour toujours. Je ne te reverrais plus. Je préfère t’écrire, au cas où.
Je t’aime toujours.
Charlène »

Moi : Enzo !
Bill : Hein ?
Moi : Je suis persuadé qu’elle est partis chez ce con !
Bill : ah, celui que tu as bien amoché l’autre soir ?

Je me leva, me pris le coin de la table, failli me prendre les pieds dans le tapis, me cogna dans Bill.

Bill : T’es dans un de ces états frangin. Tu peux aller nul pars comme ça, crois moi.

Je ne cherchais pas à l’écouter et monta deux à deux les escaliers pour me faufilé dans la chambre de Charlène. Sur sa table de nuit, son portable était posé. C’était ce que j’espérais. Je m’en empara, et fouillais dans son répertoire. E. Enzo. Je pris mon téléphone, tapai le numéro et portai le téléphone à mon oreille.

Enzo : ouai c’est qui ?
Moi : * il est pas clean lui non plus* : On peut se voir ? T’es où ?
Enzo : Chez moi. Si tu viens, tu ramène de l’héroïne, on va être à cours mon vieux.
Moi : Ok, je t’en ramène la dose. T’habite vers où déjà ?

Enzo était tellement défoncé qu’il ne chercha même plus à savoir qui j’étais. Seul la drogue que j’étais censé lui apporté l’interessait. Faite que Charlène ne soit pas avec ce fou. Il M’indiqua la rue ou il était, et me donna quelques précisions pour m’y rendre. Je raccrochais.

Bill : T’étais avec qui au téléphone ?
Moi : Enzo. Je me rend chez lui.
Bill : je t’accompagne.

Bill et moi sortîmes de la maison lorsque je pensa « et ses parents ? Il vont bientôt rentré.. »

Moi : Attend moi là, j’ai oublié de faire quelque chose…

J’entrais dans la maison, dénicha un morceau de papier et un crayon, sortis la lettre que Charlène m’avait écrite et tenta d’imiter son écriture pour écrire :

« papa, maman
désolé, j’avais oublié de te dire que j’étais invité chez Amélie.
Je rentre dans la matinée demain, ou peut être dans l’après-midi
Je vous embrasse
Charlène »

Je déposa le papier sur la table et rejoignis Bill.

Bill : t’as fais quoi ?
Tom : Fais croire à ses parents qu’elle était chez une amie, ça évitera qu’ils s’inquiètent.

Et nous partîmes en direction de chez Enzo.

super super j'adore ma louloute!!!!
euh par contre s'a marrange aps moi pour ma fic! mdrr
bref on s'en fou j'aime et je veux une suiteuhhhhhhhh

j'adore toujours

et je veux toijours la suite comme d'hab quoi

Rohh... Tom il est déchirer !!

Mais il fait tout pour assayer de la retrouvé, c'est beau !

Et qu'est ce qui c'est passé à ce moment où tout s'est boulvérser dis !!

Je veux savoir moi !!

[ Point de vue : Tom ]

moi : c’est là !
Bill : Sincèrement, J’espère qu’elle y ai pas

Bill et moi observions la maison, et écoutions les cris qui s’y résonnaient. Je me précipita à la porte, sans prendre la peine de frapper. A l’intérieur, ce que je vis me fis frissonner d’horreur. Une vingtaine de personnes étaient écroulées au sol, les bouteilles d’alcool d’une main, les seringues de l’autre. Certain sniffait directement l’héroïne veillant à ne pas laisser la fumée s’échapper. Inquiet, je cherchais Charlène du regard. Soudain je la vis, penché sur quelqu’un, tremblant de peur. Je m’approchais d’elle, et reconnu la personne sur lequel elle était penché. Il était maigre, ces yeux étaient vide de vie. Son visage était devenu bleu, c’était la première fois que je voyais cela. C’est lorsque je vis la seringue piquée à son bras que je compris. Ce genre d’histoire se finis toujours comme ça : l’overdose. Je me baisse, pris Charlène dans mes bras. Elle tremblait, pleurait. Je ne sais pas si elle me reconnaissait, mais je la consolais. Elle avait du mal à parlé, mais je comprenais dans ces paroles « son bras est froid, il est mort. Il est mort. Il ne bouge plus, je veux qu’il bouge. »
Je ne savais pas comment réagir. J’avais espérer la mort d’Enzo longtemps, mais voir Charlène dans cet état ne me rendait pas plus heureux. Elle était morte de trouille. J’aurais aimé la rassurer, lui dire que je suis là, mais elle ne jurait que par Enzo. Ça me faisait mal, mais je ne pouvais pas m’attendre à autre chose. Bill nous avait rejoins. Il s’écria :

Bill : Putain, Tom elle tourne de l’œil !
Moi : Quoi ?!?

J’observais Charlène. Elle était pâle, ne regardait personne droit dans les yeux. Ni moi, ni mon frère. Elle était recroquevillé sur elle-même, elle était dans un sale état. Je sentais qu’elle voulait dire quelque chose, qu’elle voulait me parler. Mais lorsqu’elle voulait articuler quelques mots, seul un son sortait de sa bouche. Elle tremblait de plus en plus.

Bill : J’appelle l’ambulance.
Moi : Mon cœur, parle-moi, dis moi quelques chose. C’est Tom, dis-moi que tu me reconnais ma puce.
Bill : t’arrête pas de lui parler surtout !
Moi : C’est bon c’est ce que je fais ! Charlène, on va t’aider. Bill va appelé les médecins, ils vont te sortir de là. Je resterais près de toi, je te le promets. Je t’aime. Je t’aime tellement.

Ses yeux se fermèrent, j’avais l’impression d’être impuissant.

Moi : Non, ferme pas les yeux Charlène. Regarde-moi, je suis là. Bill est là. Pense à Amélie. A tes parents. On sera tous là pour toi, mais il faut que tu restes pour ça. Je te laisserais pas partir. Jamais…
Bill : Ils arrivent…
Moi : J’ai peur qu’ils arrivent trop tard Bill.
Bill : dit pas ça, parle lui. Dis-lui n’importe quoi, juste pour qu’elle sache qu’elle est pas seule. Qu’elle à du soutient et qu’elle doit se battre ! En tout cas, c’est bien le bordel ici. Y a de la came partout.
Moi : Charlène, les médecins arrivent. Ils vont pas tardés.

Les minutes passèrent et les ambulanciers arrivèrent enfin. Dans ces moments là, on a toujours l’impression qu’il est trop tard. Eux, il essaie de te rassuré tant qu’ils peuvent. Mais ça ne marche jamais. On lit dans leurs regard inquiet sur leurs visages : Seuls eux savent si tu va t’en sortir. Ils t’on pris, t’on déposé sur un brancard. Ils t’ont branché à plusieurs appareil. Je ne sais pas ce que ces appareils allaient t’apporté, je n’y connais rien en médecine. Mais ça me fait peur. Charlène se retrouves dans l’ambulance, je veux la suivre. Je veux rester près d'elle. Je veux lui tenir la main. Je veux lui chuchoter que je l'aime. Je veux être là pour elle.

suite c'est la seule chose que je peux dire c'est telment beau que j'en trouve plus mes mots !! bizzouille

c'est trop beau, si tu continue tu vas reussir a me faire pleurer

La suite stp