[T] thanks for the memories (tome 1 et 2)

Date d'inscription : 09/11/2007

j'aime me l'imaginer comme çà.

Date d'inscription : 09/11/2007

bon allez, je m'ennuie là...
je vous met une suite.
en espérant que vous aimerez.
gros bisouuus

CHAPITRE 15
narrateur : Marina

les rayons du soleil sont si doux, le chant des oiseaux est si apaisant, et ce souffle dans mon cou est si rassurant.
Qui est-ce? Je ne me souviens pas, peut-être à cause des cachets qu'ils me refilent dans cet hôpital où l'on me considère comme une folle.
Pourtant, je ne suis pas folle, je le sais.
Je suis une fille tout ce qu'il y a de plus banale.
Une fille qui voudrait goûter au bonheur une fois dans sa vie, mais qui ne connait pas la signification de ce mot. J'ai entendu tant de fois ces phrases que toutes les filles disaient entre elles. « je veux être heureuse ».
mais pourtant, qu'est-ce qu'être heureuse?
La vie ne m'a jamais soufflé la réponse, et si les nuages devaient me noter, je crois que je redoublerais direct.
Je n'y ai jamais vraiment fait attention, mais ils sont là, ils me regardent. Attendant le premier faut pas que je ferais.
Foutus nuages.
La vie est une pourriture c'est bien connu. La vie a une mémoire sélective, elle ne retiens que ceux qu'elle veut et leur donne un peu de bonheur.
Moi je n'ai pas été retenue, mais elle m'offre cette personne, derrière moi qui me donne l'irrésistible envie de l'identifier.

Je me retourne et tombe sur ce visage si familier, cette bouche si attirante, ces joues si douces et ces yeux si rassurants. Comme tout son corps, rien que de les voir, cela m'apaise.
Que se passe-t-il? Serait-ce le contre-coup de cette accident? Ou la nuit où je l'ai vu dans toute son intimité?
Je ne sais pas, et je ne saurais peut-être jamais.

Pourtant, je ne peux m'empêcher de sourire devant ce spectacle, cet être si beau endormi devant moi.
Il est beau, et il n'y a rien d'autre à dire.

Ma main rencontre son torse découvert. Il a du avoir très chaud avec moi collée contre lui et a quitté son tee-shirt.
Cette vue n'a pas changée et a toujours le même effet sur moi.
Elle m'envoute et me force à me rapprocher encore un peu plus.
Mais il ne faut pas, je ne dois pas lui montrer çà.
Je ne dois le montrer à personne.
Personne ne doit être au courant...

ma tête se pose doucement sur son épaule, et me yeux le dévorent encore et encore.
Les minutes passent les unes après les autres, jusqu'à ce que ses deux pupilles clignotent et s'ouvrent dévoilant la douceur de cette couleur noisette.

« Tom : coucou. »

un sourire lui fait comprendre que je veux dire la même chose.

« Tom : tu as bien dormis? »

j'acquisse et lui fait un bisou sur la joue.

« Tom : tu veux que j'aille te chercher à manger pour le petit déjeuner? Des croissants? Parce qu'à mon avis, la bouffe ne doit pas être terrible. »

il fait une moue d'horreur qui me fait sourire au plus haut point. S'il savait qu'il est encore plus adorable lorsqu'il fait ses mimiques.

Je hoche brusquement de la tête ce qui lui fait comprendre que je raffole des croissants.

« Tom : au beurre? Ou nature? »

je fais un petit « un » avec ma main et il part chercher des croissants.
Lorsque la porte est refermée, j'en profite pour aller mes laver et me changer.
C'est pas simple avec le plâtre mais possible.
Une fois fini, je m'assois sur mon lit, essayant désespérément de m'habiller.
Je n'arrive pas à mettre mon jean, j'ai beau me tordre dans tous les sens, le plâtre bloque.
Lorsque la porte s'est ouverte, j'ai cru défaillir devant la personne devant moi.
Certes il m'avait déjà vue, et encore moins vêtue, mais c'était différent. Cette fois-ci, il était là pour moi, et savoir son regard sur moi, c'était très étrange.
Je restais bloquée sur mon lit, incapable de faire quoi que ce soit.

Date d'inscription : 01/10/2007

rhaa et il vas l'aider ou la dehabiller??mdr
allez suiteeeeeeeeeeeeee

Date d'inscription : 09/11/2007

bien vue ma choupp^^
je crois que tu vas rigoler pour la prochaine suite

Date d'inscription : 01/10/2007

j'attend donc avec impatience!!!!!!!!!!!

Date d'inscription : 09/11/2007

bon allez chapitre 16.
en espérant que vous aimerez...

CHAPITRE 16
narrateur : Tom

ces yeux me fixaient avec une telle incompréhension et sa poitrine qui se soulevait au rythme de sa respiration saccadée, je ne savais pas bien ce que je devais faire à ce moment là, ni ce que je devais dire.
Je la voyais, dénudée sur son lit, essayant d'enfiler un jean trop étroit pour sa jambe plâtrée. Elle était en soutiens-gorge et portait un petit string bleu. Ses courbes me donnaient vraiment des frissons. Je repensais à cet instant, où on s'est trouvés dans le lit de l'hôtel. Ses hanches si douces, si bien dessinées.
Je déglutis je crois très bruyamment et m'approche d'elle tout doucement. Les croissants posés sur la table, je la regarde et lui demande si elle a besoin d'aide.
Elle me sourit faiblement et finit par accepter.
Mes pas me conduisent jusque devant elle. Je l'aide à se relever, pose ses mains autour de mon cou et lui dis de se tenir.
Je pose mes mains contre ses cuisses, à la lisière de son jean et tire dessus pour le remonter. Après quelques efforts et quelques frôlements de doigts contre sa peau si douce, je la repose sur le lit. Elle semble essoufflée par l'effort que lui a demandé sa jambe. Elle enfile ses chaussettes avec de petits nounours en rougissant.
Il n'y a pourtant aucun mal à avoir des nounours sur ses chaussettes.
Pourtant, ça n'a pas l'air d'être çà qui la rend si rouge. Elle me regarde puis dans un petit mouvement de tête, elle me montre son débardeur sur le dossier de la chaise. Je l'attrape et le lui tend.
Elle s'habille en vitesse puis se coiffe.

Ce que je ressens en ce moment est un peu étrange, j'ai chaud, beaucoup trop chaud. Mes doigts sur sa peau, toujours la même sensation de chaleur, de bonheur. Le grain de beauté qui se trouve sur son épaule droite, je pouvais très bien le voir, lorsqu'elle était appuyée sur moi. Chaque fois que je la sens si près de moi, je ne résiste pas, je me sens ailleurs.

Je sens une sensation un peu gênante devant une fille arriver. Oh non, rien que de penser à çà, de me rappeler la fois où on a fait l'amour, j'en ai envie, et la bosse dans mon pantalon en est la preuve. Je me dirige en vitesse vers sa salle de bain en lui disant que je vais me laver.

Ouff, c'était moins une.
Si jamais elle avait vu dans quel état j'étais, je n'aurais jamais su où me mettre.

Je me déshabille et rentre sous la douche. L'eau est chaude, vraiment chaude, et ça me relaxe.
Par contre, mon excitation n'a pas l'air de vouloir redescendre. Bon on va utiliser les grands moyens.

***

je ressors enfin de la salle de bain et la regarde. Elle est allongée sur son lit, entrain de lire un magazine. Je me rapproche et m'assois à ses côtés. Son magazine parle de nous, je me penche un peu, elle est sur la page qui parle de moi.

« moi : tout ce qu'ils disent là, tout le monde le sait déjà »

elle me regarde, me fait non de la tête puis se montre elle avec une signe négatif.

« moi: tu ne nous connaissais pas? »

nouveau mouvement de tête. Elle m'écrit sur une petite feuille comment elle est venue au concert et là je comprends.
Ses yeux s'attardent sur une photo de moi avec une fille, puis une différente. La phrase en dessous me fait passer pour un coureur et elle semble attristée. Je ne veux pas qu'elle pense que j'ai couché avec elle pour çà. Je l'ai fait car elle m'attirait beaucoup.

Ses doigts caressent les pages au fil des minutes. Je regarde l'écran de télé allumé, encore des images de l'avion. Elle l'a remarqué, mais ne semble pas vraiment y faire attention. Elle est plongée dans ce magazine, je me demande bien ce qu'elle peut y lire.
Je jette un rapide coup d'oeil et bloque sur la page.

« comment savoir si tu es le type de fille de Tom? »

pourquoi lit-elle çà? Songeur, je me relève et vais me mettre à la fenêtre. Je regarde le ciel dehors, il est beau. Un bleu éclatant et une légère brise qui ferait fondre n'importe quelle personne.
Je sens des petits bras m'entourer et me retourne. Elle me regarde interrogatrice.

« Marina : Tom?
Moi: ne t'en fais pas, je vais bien.
Marina : Tom.... »

ses yeux ont l'air si tristes, elle n'ose plus me regarder, qu'est ce qui lui prend?

« Marina : p...... pr...... pren..... »

elle veut essayer de parler mais elle a beaucoup de mal.

« moi : vas-y doucement. Ne te force pas.
Marina : je.... ve-veu-veux êtreeeuh dans tes .... br-br-braas. »

elle m'a sorti çà comme çà, mais je suis tellement heureux qu'elle reparle.
Je ne me fais pas prier et je la sers contre moi.

« moi: c'est bien, tu progresse tu vois.
Marina: Tom... »

elle se met à pleurer en s'agrippant un peu plus à mon tee-shirt.

« marina : rr-rreste. »

Date d'inscription : 01/10/2007

rhaa c'est magnifique
trop beau sublime
j'adore de trop
Ta facon d'écrire de faire passer les émotion
rhaa j'adore
allez encore un petit peu???
Suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Hey, je m'appelle ♣ Invité ♣

=') oh mais c'est vraiment trop boo!!
C'est vrai, tu fait vraiment passer les émotions d'une facon indescriptible..

j'adoooooooooooooooreeeeeeeeeeeeeeee

suittttttttttttttteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!! Wink

Date d'inscription : 09/11/2007

bon pour toi ma choupp
on fait un troc.
ta suite contre ma suite.^^

voilà le chapitre 17.
en espérant que ça te plaise.

CHAPITRE 17
NARRATEUR / MARINA

J'ai vraiment du mal à le croire. Comment ai-je bien pu faire pour recommencer à parler si facilement?
Même si ce ne sont que quelques mots, même s'ils sortent pas bribes, je peux les dire.
Je peux y arriver, juste pour lui, je peux parler.
Je peux lui dire quelques mots, qui lui font comprendre toute une phrase.

Je ne réussis pas à comprendre, comment je réussis à communiquer avec ce garçon.
Qu'a-t-il de plus que les autres? Que ma famille? Que Lauryn?
Impossible pour moi de savoir.

Pourtant, ce regard, ces deux yeux noisettes, je me sens en confiance.
Pourquoi?
Pourquoi ressentir des choses comme çà à un moment pareil?
Je suis coincé dans ce fichu lit, en attendant que mes jambes guérissent.
Ou alors c'est mon cerveau qui doit guérir.
Je ne sais pas.
Je suis peut-être folle après tout.

Tout ce que je raconte depuis le début est peut-être ma tête qui me joue des tours.
Mais ces mains autour de mon corps, je ne pense pas que ce soit ma tête.
Elles sont bien réelles.
Et cette masse si chaude contre laquelle j'aime me blottir, encore plus.
Ce tee-shirt si grand, auquel je m'agrippe depuis quelques minutes, cette bouche qui ne cesse de me dire de me clamer, je dois en rêver, et j'aime çà. Parce que tout simplement j'ai la sensation que c'est un rêve alors que c'est bien vrai.

« Tom : Marina, je ... ... tu m'as manqué. »

Ses yeux sont si emprunts d'eau, on dirait qu'il va pleurer.

« moi : Tom?
Tom: je... je suis désolé...
moi : Tom? »

Je voudrais savoir ce qu'il se passe, je voudrais qu'il me dise ce qu'il le tracasse, mais je ne peux l'y forcer.
Sa tristesse me fend le coeur, je ne supporte pas le voir comme çà.
Il a toujours été un garçon insouciant, il ne se préoccupait de personne, sauf des gens qu'il aime, et ça lui réussissait.
Alors que là, il est fatigué, moralement.
Je n'aime pas le voir comme çà.
Et c'est à cause de moi?
Pour ma tête, pour ma voix, pour ma jambe?
Je n'en ai aucune idée, mais je ne veux pas que ça dure.
Je ne veux pas le voir anéanti comme çà.

Je voudrais tellement le préserver, il ne mérite pas de souffrir pour moi.
Nous ne sommes rien sur cette terre, nous ne sommes rien l'un pour l'autre.
Je n'ai pas le droit de le rendre comme çà.

« moi: va... t'en.
Tom: quoi?
Moi: je ve-veux pluuus te v-voir.
Tom: attends, explique moi.
Moi: DE-DEGAGE!!!!! »

je me met à pleurer, encore une fois.
Je lui ai fait mal, très mal en trois phrases.
Mais je veux lui épargner une souffrance longue durée.
C'est le mieux que je puisse faire.
Faire en sorte qu'il me déteste, ce serait trop compliqué sachant que je ne parle pas trop.
Alors je le blesse, énormément.
Ne reviens plus me voir Tom, c'est le mieux pour que tu retrouve ton super sourire de tombeur, ce sourire qui a fait que j'ai craqué comme toutes les autres.
Adieu Tom.

Il est sorti en claquant la porte, et en essuyant énergiquement les larmes qui dévalaient ses joues rougies.

Date d'inscription : 01/10/2007

Rhaaa c'est mechant
Pauvre Tom
j'aime pas cette suite j'en veux une plus amoureuse XD
allez suiteeeeeeeeeeee

Hey, je m'appelle ♣ Invité ♣

Moi j'adore cette suite !!!
J'en veux une autre =D

Hey, je m'appelle ♣ Invité ♣

Jaddoore aussi!! une autre Stp Wink

bisous

Date d'inscription : 09/11/2007

pour toi ma choupp
parce que j'ai le droit à plein de suites en ce moment^^
j'espère que tu vas aimer...

CHAPITRE 18
NARRATEUR : TOM

cela fait presque une semaine que nous sommes dans cet hôtel, et une semaine que je n'ai plus été la voir.
Elle ne veut pas de moi, elle a été si cruelle.
Est-ce-qu'elle s'est servie de moi? Elle a été si tendre avec moi, juste pour .... pour quoi d'ailleurs?
Je ne comprends plus rien.
Elle a été horrible alors que j'ai été là pour elle depuis le début.
Elle m'a envoyé bouler alors que je la serrais dans mes bras.
Pourquoi?
Je me suis bien fait avoir.
Moi qui pensais à elle, qui avait peur de la perdre, j'ai fait tout çà pour rien?
Tous ces kilomètres parcourus pour devenir une vieille chaussette, une lauque?

Cela fait une semaine que je ne me lève pas de mon canapé, que je regarde la télé sans dormir, que je ne mange pas et que je ne me lave pas.
Je suis un zombi, je ne sais plus comment marche ma tête. Je n'ai plus aucune notion du temps.
Et tout çà pourquoi?
Parce que je me suis fait baisé et jeté.

« Bill: TOM!!! OUVRE BORDEL, CA FAIT UNE SEMAINE QUE TU BOUGES PAS. TU VEUX PAS M'EN PARLER?
Moi: non. Je regarde mon feuilleton. »

il renonce et tourne les talons.
Ça fait une semaine qu'il essaye tant bien que mal de me faire sortir, mais rien, rien ne pourra y arriver.

Mon téléphone sonne, je regarde l'écran, je ne connais pas.
Je laisse sonner et me replonge dans la télé.
Deuxième fois.
Le portable se remet à sonner.

« moi: QUOI?
...: euh, vous êtes monsieur KAULITZ? »

la fille au téléphone parlait un peu l'allemand, mais je savais à son accent qu'elle était d'ici.

« moi: oui c'est moi.
...: ici l'hôpital. Vous êtes venu voir la jeune patiente BRONEHAUSER.
Moi: oui, et alors?
... ; il y a un petit problème.
Moi: QUOI? QUE SE PASSE-T-IL?
...: et bien, voyez vous, Marina commençais à faire des progrès, elle reparlait un peu, mais depuis une semaine, elle va très mal, son état s'est dégradé. Elle fait des crises régulières et ne cesse de répéter votre prénom à longueur de journée. Elle se blesse tous les jours, parfois très sauvagement. Elle ne mange presque rien. Nous pensons que vous devriez venir la voir, il n'y a que quand vous êtes là qu'elle est calme et apte à guérir.
Moi: moi je ne demande que çà, mais elle ne veut pas de moi, elle a joué avec moi.
...: vous pourriez passer aujourd'hui? J'ai quelque chose à vous montrer.
Moi: oui, je serais là dans une petite heure. »

je n'arrive pas à le croire. Comment a-t-elle pu en arriver là? Qu'a-t-il bien pu se passer pour qu'elle devienne si.... malade?
Elle fait des crises? Et répète sans cesse mon prénom?
Mais je croyais qu'elle ne voulait plus de moi.

Je n'arrive plus à comprendre, je suis complètement perdu.
Cette fille me fait perdre la tête.
Chaque fois que ma pensée divague, c'est vers elle qu'elle se dirige.
Je ne peux la sortir de mon esprit et pourtant, je le souhaite tellement.
Après ce que j'ai subi.

Je file sous une douche bien froide, m'habille vite fait et sors dans le salon.
Bill est là, il est surpris de me voir.

« moi: faut que j'aille à l'hôpital!
Bill: qu'est ce qui se passe? Y a un problème?
Moi: l'état de Marina s'est dégradé, depuis.... depuis que je ne vais plus la voir parce qu'elle m'a jeté sans explications.
Bill: elle t'a jeté? Et comment çà il s'est dégradé?
Moi: je t'expliquerai en chemin. »

nous partons vite tous les deux.
Sur la route, je lui raconte tout.
Je lui fais part de nos moments de tendresse, de mon envie gênante devant elle, de son changement soudain de comportement. Je lui parle aussi de l'étrange sensation que j'ai en moi.
Je me sens bizarre, je me sens différent.
Est-ce normal de penser autant à une fille alors qu'elle me fait tourner en bourrique?
Je ne piges pas.

Nous arrivons à l'hosto, et l'infirmière vient me parler.
Elle me parle un peu de la semaine qu'a passé Marina. Elle a écrit dans un cahier pleins de phrases.
Elle en a fait son journal. Mais l'encre..... elle est rouge.

« infirmière : elle a écrit çà..... avec son sang. Elle s'ouvrait la paume de la main, y plongeait sa plume et écrivait. Dedans elle ne parle que de vous. Je crois que vous êtes la seule personne à pouvoir la guérir.
Moi: mon dieu.... où est-elle?
Infirmière: dans sa chambre, nous lui avons fait une perfusion de somnifère car nous n'arrivions pas à la gérer.
Moi: je peux y aller?
Infirmière : oui bien sûr.
Bill: je vais rester là Tom. C'est entre elle et toi.
Moi: ok. Merci Bill. »

je me dirige vers cette chambre que je connais bien, et arrive devant la porte qui me fait tant douter.
Moi?
La guérir?
Pourquoi moi?
Et si je n'y arrivais pas?
Et si elle ne voulait pas me voir?
Et si je ne poussais pas la porte?

Date d'inscription : 01/10/2007

Rhaa Tom pousse cette porte ne te pose plus de question et aide la a guérir meme si elle te rejete
Allez j'en veux encore
J'adore ta fic cocotte
suiteeeeeeeeeeeeeeeeeee

Hey, je m'appelle ♣ Invité ♣

suite

Hey, je m'appelle ♣ Invité ♣

encore encore encore !!!

Date d'inscription : 09/11/2007

chapitre 19 pour vous mes lectrices.
j'espère que ça vous plaira.
bonne lecture.

CHAPITRE 19
NARRATEUR : TOM

Musique : Sterben Für Dich de LAFEE : http://fr.youtube.com/watch?v=5JB6jGk1RU4

Je me suis enfin décidé et j'ai poussé cette porte qui me faisait si peur.
Elle est étendue, encore une fois, dans cet affreux lit d'hôpital.
Ses yeux sont clos, sa respiration est douce.
Elle dort.

Je me rapproche d'elle, et m'assois à ses côtés.
La voir comme çà, juste parce que je ne suis pas à ses côtés, ça me rend dingue.
Je ne comprend pas pourquoi elle agit comme çà, je ne la comprend pas.
Je me demande même si elle se comprend elle-même.

Sa main bouge légèrement, glisse sur le matelas et arrive jusqu'à moi.
Sait-elle que je suis là?
Sait-elle que c'est moi?

« moi: Marina, euh... tu ne veux peut-être pas de moi, mais je suis quand même là. Je voudrais que tu guérisse, je voudrais que tu puisse sortir de cet endroit et que tu reviennes avec nous.
J'ai ton journal dans la main, je vais le lire, conseil de l'infirmière. Je sais que je n'ai pas le droit, mais je veux te comprendre, je veux t'aider. »

je la regarde, elle ne bouge presque pas, juste ses paupières bougent doucement, preuve qu'elle m'écoute mais qu'elle ne réussit pas à bouger.

« moi: aujourd'hui, une infirmière est venue dans ma chambre m'apporter des médicaments. Elle a dit que c'était pour ma tête, pour combler des trous. Je les ai pris, mais je n'étais pas vraiment rassurée. J'ai des trous dans le cerveau? Je vais mourir? Si je ne prends pas mes médocs, que va-t-il m'arriver? J'ai commencé à lui poser plein de questions et ses réponses m'horrifiaient de plus en plus. En clair, si je ne guéris pas maintenant, je vais devenir folle. Je ne voulais pas l'entendre de sa bouche, j'ai commencé à m'énerver, et à lui crier dessus. Elle m'a sorti une phrase horrible, disant que si Tom était parti, c'était ma faute, que je suis surement déjà barjo et que je blesse tout le monde autour de moi. Mais ce n'est pas vrai. Si je lui ai dit de partir, si j'ai été si méchante, c'était pour le protéger, rien d'autre. J'appréciais chez lui sa joie de vivre, son sourire de tombeur et là, il avait l'air mal, fatigué de supporter toute ma souffrance. Je voulais lui rendre sa liberté. Je n'ai pas le droit de lui demander de subir tout çà. C'est moi et moi seule qui ai des trous dans le cerveau. Mais je voudrais tellement le voir. Il me manque tellement, sa chaleur, ses mots doux, ses yeux noisette et ses grands tee-shirts auxquels j'aime m'accrocher. Pourquoi ce garçon me fait-il tant d'effets? C'est bizarre, c'est pas normal. Et puis cette nuit et ce moment si intime me revient sans cesse en tête. Ma première fois, et je n'ai pourtant pas hésité à la faire avec lui. Pourquoi? Je ne le connaissais même pas. Je savais très bien que ça ne durerait pas, mais ça me plaisait d'être chouchoutée comme çà. Je rêve encore de ses mains sur mes hanches, et j'en frissonne... »

ses phrases...
Elles sont semblables aux miennes.
Alors elle aussi ressent cette étrange sensation?
Elle aussi se souvient de chaque détail du jour où on a fait l'amour?
Elle aussi?
Première fois?
C'était sa première fois?
Et elle l'a fait avec moi? Mais pourquoi? Elle savait que ça ne durerait pas, et elle a accepté quand même.
Étrange.
Il n'y avait rien pourtant, pas d'amour, pas de temps passé ensemble, et surtout, pas de relation.
Ce n'est pas vraiment l'idéal pour une première fois.
Je ne la comprend pas. Mais j'en ai tellement envie.
J'aimerais voir son visage s'illuminer d'un gigantesque sourire, que ses yeux se plongent dans les miens pour un moment si doux.
Je voudrais la reprendre dans mes bras, et lui dire que je ne veux plus la perdre.
Je voudrais revivre ce moment si doux et intense avec elle.
Caresser la peau de ses hanches, le bas de son dos et son coup.
Je voudrais effleurer ses lèvres des miennes et la rendre folle de désir.
Je voudrais....

je voudrais qu'elle m'aime.

Hey, je m'appelle ♣ Invité ♣

c'est trooooop beau ^^
y'en a qui son accro au McDo moi c'est à ta fic ^^ ( pour le McDo fait pas attention, mon cours d'anglais --" lol )
suite suite suite ^^

Hey, je m'appelle ♣ Invité ♣

Troo beau!! en plus avec la musique derrière =')
chui toute ému xDD

chuitttttttttttttttttteeeeeeeeee Wink

Date d'inscription : 01/10/2007

Rhaa mais c'est magnifique
la chanson vas super bien avec
Ta le don de nous faire passer des emotion toi
J'en veux encore
Et oui pour pas changer
J'adore ta fic
Suiteeeeeeeee

Date d'inscription : 09/11/2007

bon allez, vu qu'aujourd'hui il n'y a pas cours, à cause de la neige^^, je vous met la suite.
bonne lecture.

CHAPITRE 20
narrateur : externe

Elle vient de se réveiller et lui de s'endormir. Elle se redresse doucement dans son lit, histoire de lui laisser un peu plus de place puisqu'il est affalé à côté d'elle. Ses yeux parcourent sa peau, ses joues roses et ses fines lèvres. Un frisson la parcoure et elle ne comprend pas.
Mais quand va-t-elle se rendre à l'évidence?
Il l'aime, et sans qu'elle ne le sache, elle en est folle amoureuse.
Ouvre les yeux ma petite.

Elle porte sa main gauche à sa joue et la lui caresse. Sa peau est chaude et douce, il n'a donc pas trop changé depuis son départ.
Elle ne résiste pas à laisser passer un sourire sur ses lèvres lorsque le garçon fait une petite moue de bébé que l'on câline.
Elle se lève finalement et s'engouffre dans la salle de bain. Une bonne douche lui fera du bien, et lui remettre peut-être les idées en place.
Pourquoi la vue de Tom lui fait tant de bien et l'apaise?
Pourquoi son odeur lui fait tourner la tête comme çà?
Pourquoi a-t-il fallu qu'il lise son journal?

Oui elle l'a parfaitement entendu. Elle aurait voulu en pleurer, mais elle était prise dans la prison des somnifères.
Lorsque ses mots sortaient de sa bouche à lui, cette réaction qu'elle a eu contre l'infirmière, la révélation de l'état de sa tête et surtout, ce qu'elle avait écrit sur lui.
Tout est vrai, elle le sait très bien, mais elle ne sait pas vraiment comment l'interpréter.
Elle n'a jamais vraiment eu quelqu'un dans sa vie, juste quelques personnes par si et par là.
Jamais elle n'a été aussi loin avec quelqu'un, jamais.
Sauf...
Le souvenir d'un corps contre le sien lui revient.
Un seul, et c'est celui du garçon qui dort juste dans la pièce à côté.

Elle en sort finalement, quittant à regret cette eau foudroyante de chaleur.
Elle s'enroule dans une serviette immense, et se place devant son miroir.
Le reflet lui fait peur, et elle fait un pas en arrière.
Est-ce vraiment elle?
Cette peau blanche, ces cernes sous les yeux.
Comment est-ce arrivé?
Elle est.... malade.

Des larmes perlent aux coin de son oeil, elle ne peut les retenir.
Elle revoit sa vie défiler, tous ces nouveaux événement et eux.
Ils sont rentrés dans sa vie comme çà, et elle n'arrive pas à les chasser.
L'accident de l'avion, pourquoi n'est-elle pas morte?
Pourquoi est-il venu ici, laissant en suspend sa carrière et ses concerts.
Pourquoi depuis tout ce temps plus personne ne vient la voir?
Pourquoi est-elle folle?
Elle pleure, et sans retenue.
Et même si elle aurait voulu arrêter, elle ne contrôle plus rien.
Elle tombe à genoux, d'un coup, et pas des plus doux.
Elle se fait mal, mais elle ne ressent rien.
La douleur au fond d'elle est bien trop supérieure.
Ses yeux la brûlent, sa vue est brouillée.
Elle se recroqueville sur elle-même, se forge une petite carapace.

De l'autre côté, le jeune homme se réveille doucement.
La position n'est pas confortable pour tenir longtemps.
Il lève la tête, à la recherche d'un visage qu'il aime, mais rien.
Le lit devant lui et vide.
Il se lève d'un bond et regarde dans toutes les directions.
Où a-t-elle bien pu aller?
Il écoute.
Des sanglots proviennent de la salle de bain.
Il sait que c'est elle, et ce bruit lui arrache le coeur.
Il se précipite à la porte et l'ouvre de toutes ses forces.

Date d'inscription : 01/10/2007

rhaa c'est trop beau
Il est si attendrissant ton Tom
allez suiteeeeeeeeeeeeeeeee

Date d'inscription : 09/11/2007

puisque tu aime et que je veux vraiment une suite, je t'en poste une autre.

CHAPITRE 21
narrateur: Tom

Musique: Boston _ AUGUSTANA : http://fr.youtube.com/watch?v=UnqvjD7Kxs4

La porte ne résiste pas à mon poids, et l'élan à l'ouverture est plus grand que prévu.
Je me retrouve contre le mur.
Je me suis vraiment précipité, mais je ne supporte pas de savoir qu'elle va mal.
Je ne peux pas accepter qu'un être aussi magique qu'elle puisse être dans cet état.

Elle est accroupie sur le sol, la tête entre ses mains et se balance légèrement, faisant taper au passage sa tête sur le rebord de l'évier.
Que se passe-t-il?
Aurait-elle vraiment perdu la tête?
Serait-elle vraiment devenue folle?
Mais que ce soit vrai ou non, je ne peux pas la laisser se faire çà.

Je me rapproche doucement, cherche à éviter une réaction non voulue.
Je me met à genoux, et passe mes bras autour de son corps.
Elle cherche à se débattre, elle hurle.

« Moi: Marina, clame toi s'il te plait. »

Elle me donne des coups, et me mort le bras.
Ça me fait mal, très mal même.
Le sang perle sur mon bras, mais je ne bouge pas.
Je ne l'abandonnerai pas.

Pourquoi refait-elle une crise?
Quelle en est la cause?

« moi: Marina, je t'en supplie, c'est moi, c'est Tom. Je t'en prie calme toi, redeviens toi. Je ne supporte pas de te voir comme çà. »

Elle se calme, et laisse les sanglots l'envahir.
Elle se colle contre moi, secouée de vilains spasmes.
Je caresse ses chaudes brûlantes, elle essuie ses yeux mouillés contre mon torse.
Je regarde ses mains agrippées à mon tee-shirt.
Aurait-elle vraiment besoin de moi?
Maintenant, je crois que c'est clair.

Une infirmière rentre, alertée par le bruit.
Elle me regarde interrogative.

« moi: tout va bien. Elle a fait une crise mais je l'ai calmée.
Inf: normalement, il lui faut des médicaments pour la calmer, comment avez vous fait?
Moi: je crois que c'est l'amour. »

elle sourit et repart sans un mot.

Comment j'ai pu dire çà?
C'est sorti tout seul.
Serait-il possible que je l'aime?
serait-il possible que depuis le début c'est çà qui me pousse à venir ici?

Remarque, c'est possible.
Mais, avoir une relation comme çà, ça risque d'être très dur.
Moi j'ai ma carrière et elle, elle est malade.

Pourtant, au fond de moi, je sens une douce petite chaleur.
J'ai compris mes sentiments, et je me sens bien quand elle est contre moi.
Je voudrais juste connaitre les siens.

Mais ça s'apprend je crois.
On ne devine pas comme çà les sentiments de quelqu'un.
Il faut du temps, et de la patience.

Je la serre toujours plus contre moi, je la berce.

« Marina: me laisse pas Tom. S'il te plait.... »

comment je pourrais la laisser?
Elle est tellement fragilisée désormais.
Et puis, je l'aime.
Être loin d'elle serait vraiment insupportable.
Je ne le supporterais pas.

« Moi: jamais. Tu m'entends? Jamais.
Marina: je veux te garder près de moi pour toujours.
Moi: pour toujours... Marina... tu... une fois sortie, tu m'accompagne en tournée?
Marina: j'irais au bout du monde pour te suivre. »

je suis surpris par les phrases qu'elle arrive à sortir.
Il y a quelques jours, elle ne disait rien à part mon nom.

« Moi: tu peux reparler correctement?
Marina: oui. Les médecins ont dit que j'allais un peu mieux, mais je dois rester encore un peu, car je fais toujours quelques crises. »

elle frotte sa manche contre son nez qui a coulé légèrement pendant qu'elle pleurait.
Son sourire s'affiche, et son visage rayonne.
Elle est redevenue comme avant.

Je la serre contre moi, je ne veux pas me séparer d'elle.
Heureusement qu'elle est bien partie pour se guérir, parce que je crois que David n'acceptera pas trés longtemps que la carrière du groupe soit mise en pause.

Je reste un moment avec elle dans mes bras, je ne veux pas la lacher.
Elle reste cramponnée à mon tee-shirt, comme si elle avait vraiment peur que je la lache.
Pourquoi a-t-elle cette réaction?
Pourquoi mon coeur s'est emballé lorsqu'elle m'a dit çà?
Elle me suivrait au bout du monde?
Qu'est ce que ça veut dire?

Date d'inscription : 01/10/2007

rhaa enfin il avous tout les deux
Rhaa j'adore
Et cette chanson est trop belle en plus
allez suiteeeeeeeeeeeeeeeeee

Date d'inscription : 09/11/2007

pour ma choupp
toujours présente sur ma fic!!
chapitre 22

CHAPITRE 22
narrateur: Marina

musique: Me Muero Por Conocerte _ Alex UBAGO : http://fr.youtube.com/watch?v=4UuMLzZ4VYo

qu'est ce qu'il m'a pris de lui sortir çà?
Que va-t-il penser de moi?
Le petite folle qui s'accroche à un célèbre guitariste.
Je suis vraiment pathétique.
Qu'est ce que je vais faire de ma vie?
Notre conversation est un euphémisme, jamais je ne le suivrais, même si j'en mourrais d'envie.
Je ne veux pas voir dans la presse des articles entiers critiquant Tom.
« Tom KAULITZ fricote avec une dérangée ».
oh non, je ne veux vraiment pas voir çà.

Mais qu'est ce que je raconte?
J'ai dit « fricote »?
mais Tom et moi, ça n'existe pas et ça n'existera jamais.
Nous sommes amis, rien de plus.
Enfin, je crois.

Mais...
pourquoi viendrait-il si souvent me voir, alors que les autres n'ont pas la force de me regarder dans les yeux, ni même de venir me dire « bonjour ».
je suis coincée ici, seule.
Plus personne ne veut de moi, parce que cet accident me rend complètement dingue.

Heureusement que je l'ai lui, cet être qui m'apaise et me fascine.
Cette structure dure, et pourtant si douce à l'intérieur.

Je resterais des heures dans ses bras, mais je n'ai plus la force.
Je rampe, m'arrache à cette pièce qui me torture avec tous ces miroirs.
Je sors, et vais me caler sous mes couvertures.

Ce n'est que peu de temps après que je sens sa chaleur m'inonder.
Son corps contre le miens me rassure, comme toujours.
Ses mais enlève la couverture jetée négligemment sur ma tête et je ne peux éviter son regard angélique.

« Tom: viens là. »

il se couche lui aussi sous la couverture et ouvre ses bras.
J'hésite quand même à m'y rendre mais finalement à quoi bon réfléchir?
Je suis folle, je n'ai pas de raisonnement.

Pourtant, ne suis-je pas plutôt folle de dire que je le suis?
Je suis bête de penser que je le suis?
Peut-être, mais qui me le diras?
Personne, exact, parce que je n'ai personne.

Lui.
Oui, juste lui.
Mais pour combien de temps?
Je sais très bien qu'il ne va pas rester indéfiniment.
Mais je veux profiter un maximum de son corps, de sa chaleur, de sa beauté.
Je voudrais le garder, lui dire combien je me sens bien avec lui, mais je ne sais pas comment il le prendrait.
Déjà tout à l'heure, c'était....
c'était quoi d'ailleurs?

Sa tête s'est rapprochée doucement de la mienne, et nos fronts se sont collés l'un à l'autre.
Douce chaleur.
Ses yeux ne peuvent se détacher des miens, et mes joues ne peuvent s'empêcher de rosir.

« Moi: Tom... »

je ne pouvais dire plus.
Et impossible de savoir pour moi la raison de cette défaillance.
Nous sommes si proches, nos respirations se mélangent.
Ses yeux ne le trahissent pas, il semble sûr de lui.
Tout le contraire de moi.
Je suis stressée, je ne comprend pas bien.
On va s'embrasser?
Trois... deux... un...

ses lèvres, zéro.

On se touche, on se caresse.
Est-ce vraiment la réalité?
Sommes nous vraiment entrain de nous embrasser?
Si ce n'est pas la vérité, c'est que depuis le début, je ne suis pas folle.
Oui je ne suis pas folle.
Je le croyais mais non.

Sa main se glisse sur ma joue, et sa bouche se décolle enfin.

« Tom: je t'aime. »

il a suffit d'une phrase.
Une et j'ai craqué.
M'aimer?
C'est vraiment possible?

« Tom: pourquoi tu pleurs?
Moi: Tom.... merci. »

je passe mes bras autour de sa taille et me colle contre lui, laissant aller mes larmes sur son torse.
Joie...
haine...
amour...

je le hais de m'aimer, je ne veux pas qu'il gâche sa vie avec moi, qui reste dans une chambre d'hopital.
Mais je l'aime tellement.
Et ce depuis le début je crois.
Mais pour le voir c'était une autre histoire.

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[T] thanks for the memories (tome 1 et 2)

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