roh ca c'est pas bo kwapo!!!je me vengerai^^ ...je veux la suite de ta fic je l'adore!!!jtm4444444444

Amélie me tira par le bras afin de m’aider à me relever. Je me laissais cependant aller, laissant tombé mes bras le long de mon corps. Mon amie s’agenouilla près de moi, pour être à ma hauteur, et enlevant les mains de mon visage me dit :

Amélie : j’aurais dut te prévenir que…
Moi : c’est moi qui aurait dut me douter qu’il avait trouvé quelqu'un d’autre.

La sonnerie retentit, mettant fin à notre conversation.

Moi : dis au prof que je me suis sentie mal ce matin et que j’ai préféré rester chez moi…

Amélie hésita, puis refusa. Elle n’avait pas l’intention de se séparer de moi, elle m’entraînait donc avec force et souplesse dans la salle. Le reste de la journée se passa sans grand incident, et nous ne croisâmes plus Enzo. Il me semble que Amélie avait toujours un œil sur lui, et elle veillait à ce que nous ne nous croisâmes plus. Cette journée fût pourtant l’une des plus longues de mon éxistence. Je restais à pars durant toutes les conversations, et mes amis venait tour à tour me demander si j’allais mieux. Je leur répondis à chaque fois par un mensonge les rassurants. La fin de la journée arrivait enfin, et après avoir dis au revoir à Amélie, je me dirigeais vers la sortie. Comme prévus, Andréas m’attendait avec l’un de ses plus beaux sourire. Je lui souris à mon tour, et pris conscience qu’il m’avait vraiment manqué durant cette journée. Je me détourna pour faire un dernier signe à Amélie, mais ce ne fut pas elle que je vis. Je le vis lui, Enzo, ne détournant pas son regard du mien. Je baissa la tête, et lorsque je la releva, je le surpris à regarder Andréas. Il se tenait tout les deux immobile, comme défiant tout deux les lois de la nature, puis Andréas me pris par la main et m’entraîna hors de sa vue.

- Il est jaloux, maugréa Andréas

Il riait à cette perspective, et je lui jetais un regard froid.

Moi : de quoi pourrait-il être jaloux…il m’a délaisser !
Andréas : il ne m’apprécie pas…
Moi : Il n’aurait aucune raison de ne pas t’apprécier…Andréas : je reformule. Ton Ex-copain n’apprécie pas que tu sois en compagnie d’un si bel homme…et il est jaloux de te voir apprécier ma compagnie. Il n’aime pas le sourire que je te lance, trop superficiel selon lui. Il a peur que ce si bel homme avec qui tu te trouve en ce moment sois l’élu de ton cœur…

Fier de son auto-flatterie, il me sourit de toutes ses dents, aussi blanche que celle d’un nourrissons. Je le regardais ahuri.

Moi : ce que tu dis est absurde ! Il a…une nouvelle copine ! et il en à plus rien a faire de moi…

Ma voix s’éteignit en prononçant cette phrase et je me réfugiais dans les bras de Andréas. Il passa la main dans mes cheveux et me chuchota :

Andréas : Je ne le laisserais plus te faire du mal. Il te veut à toi tout seul, par pure jalousie, il est possessif. Tu as déjà dut le remarquer ?
Moi : Oui ! cependant, là c’est différent. Il ne l’aurait pas laissé si tu disais vrai…
Andréas : c’est vrai. Je crois qu’il le regrettera un jour.

Je lui souris. Si seulement il pouvait dire vrai. Je réfléchis à ce qu’avait dit Andréas. Comment pouvait-il être aussi sur de lui ? Comment pouvait-il connaître le sentiment de Enzo en ne l’ayant vu qu’une fois, alors que même moi en le voyant, je n’apercevais pas ce sentiment de jalousie. Andréas me fixait, affichant un sourire étrange. Que cachais cet être sous son allure de mannequin ? Je continuait de fixer ses prunelles dorées, et cherchais à déchiffrer ses pensées.



HS : n'oublier pas d'aller demander la suiite de la fic de fan th, merci d'avance j'vous aime tous, merci pour vos com'z

rahhh mais c'est pas possible tu mets ca à chaque fin de suite!!!^^je veux la suite moi jtm44

a oui la je veux al suite mdr!! tu sais louloute continue a mettre des frase qui pourront me faire penser a edward xD j'adore sa mdrrr enfin bref j'adore ta fic met la suite allez hop pop pop ^^

je veux la suite!!!!!!!!!!
encore et encore!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

bisous je t'aime!!!!

et je veux la suite de fan th!!!!!!!!!!!!!^^

comme tous le monde je veux la suite

et meme si j'ai pas lu celle de fan th que j'irais lire très prochainement y faut que tu mette la suite j'suis sur qu'elle est génial

Andréas voulu me raccompagner chez lui, mais j’affirmais que ma mère serait folle de rage si je ne rentrais pas à la maison. Elle ne m’avait pas vu depuis 24h, et à l’heure qu’il est, elle devait déjà guetter mon arrivée. Andréas fit la moue, puis démarra la voiture.

Moi : je pourrais sans doute sortir après le dîner, si tu y tiens tant…Andréas : bien sur que j’y tiens !
Moi : hum…j’en parlerais à ma mère en rentrant. Sara sera à la maison ? je voudrais vraiment la revoir, je n’ai pas eu le temps de lui dire au revoir ce matin.

Andréas hocha de la tête en signe de réponse positive. Ravi de cette soirée qui s’annoncait, je pris à peine le temps de dire au revoir à Andréas lorsqu’il me déposa, chose qu’il ne manqua pas de me faire rappeler

Andréas : où sont passé les politesses ?
- oh navrés, lui répondis-je en lui faisant une bise sur sa joue glacée.
Andréas : je t’appelle dans 1h…
Moi : pas de problème ! Bisous !

Et je m’engouffras dans le garage de ma maison. Ma mère me pris dans ses bras lorsque je rentrais, et je trouvais qu’elle en faisait un peu trop. Nous parlâmes de mes nouveaux amis, et j’en profitais pour lui demander la permission de sortir ce soir.

Ma mère : Chez tes nouveaux amis ?
Moi : oui…
Ma mère : eh bien, je n’y vois pas d’inconvénient. Tu connais les conditions ?
Moi : oui, je ne rentrerais pas après minuit.
Ma mère : bien. Au fait qui sont ces nouveaux amis ? tu m’as dit que tu les avais rencontré dans ton lycée…

Aïe ! il ne manquait plus que ça ! J’hésitais à lui dire la vérité, puis me ravisai. Que dirait-elle si elle savait que je fréquentais des personnes de 3 ans de plus que moi. Cela n’avait aucune importance pour moi, mais ma mère songerais aussitôt à la drogue, l’alcool ou encore le sexe. Je ne lui en voudrais pas, toutes les mères sont pareils, protectrice, un peu trop envahissante parfois.

Moi : oui…nous avons fais exposé ensemble et on a vite noué une amitiée.

Ma mère m’embrassa, puis s’en alla préparer le repas. Lorsque mon j’entendis mon portable sonner, je me pressais de décrocher.

Moi : Allo ! Oui je peux venir. D’accord, a quel heure passe tu me chercher ? bien, surtout ne frappe pas, je guetterais à la fenêtre et viendrais lorsque je verrais ta voiture stationner devant chez moi. Je t’expliquerais. Oui c’est ça. Très bien, à tout à l’heure.

Lorsque mon père arriva, nous nous installâmes à table. Le repas sembla duré une éternité, et je demandais la permission de sortir de table avant le dessert.

Ma mère : tu es si présser ?
Moi : j’entend la voiture se garer.
Ma mère : une voiture ?

Aïe, j’avais encore fais une erreurs. Seul quelqu'un de majeur pouvais conduire, or Andréas n’étais censé avoir 16 ans. Je me rattrapais cependant.

Moi : c’est le père d’Andréas qui vient me chercher, tu comprends donc que je ne voudrais pas le faire attendre.
Ma mère : mais fais le donc entrer…
Moi : impossible ! il pars au travails aussitôt m’avoir déposer. La prochaine fois ne t’inquiète pas ! A plus !

Et je courus en direction de la voiture. Je poussais un soupir de soulagement lorsque je fut installer dans la voiture, et lorsque celle çi s’éloigna. J’entendais Andréas me parlait, mais mon cerveau se concentrait sur autre chose. A la radio, passait une chanson que j’aimais plus que tout au monde. Je fit signe à Andréas de se taire, et comme si je me trouvais dans ma propre voiture, je montais le son de la radio et me mis à chanter.

“das fenster öffnet sich nich mehr“

Andréas, n’écoutant pas mes exigences, s’empressa d’ajouter :

Andréas : tu aime Tokio Hotel ?

Il paraissait réellement surpris, et je ne compris pas les raisons.

Moi : bien sur ! Je suis folle de ce groupe ! Pourquoi parais-tu si surpris ?
Andréas : j’ai l’habitude que…enfin ne le prend pas mal. Habituellement les fans que je rencontre pensent toute la journée à ce groupe. Elle en parle tout le temps, 24h/24…or toi…
Moi : je n’en parle pas, du moins pas avec toi.
Andréas : oui. Ma réaction est peut être…exagéré.
Moi : tu n’as pas tort. Je ne suis pas groupies, c’est tout. J’apprécie la musique qu’ils font, et j’aime me réfugier en les écoutant. Je dégage en quelques sorte mon mal-être en les écoutant.
Andréas : tu les as beaucoup écouté récemment non ?
Moi : Oui.

Andréas, voyant mon visage s’assombrir s’empressa d’ajouter.

Andréas :En réalité, je suis surtout surpris que, en étant fan de Tokio Hotel, tu n’es pas deviné mon identité…

------> SUITE ? <------

ah ah ah j'ai une p'tite idée de t'as réaction charlène qu'en tu vas apprendre la nouvelle

meme question que pour l'autre fic elle est prévue pour quand la suite ?

bisouxx a toi aussi charlène et je le redis tes fic sont super
j'ai pas le choix va valoir que j'attende pour pouvoir lire la suite mais c'est pas grave faut etre patiente dans la vie

aaa charlène ta décidé de me tuer tué ou kwa??! joue glacé aa mein gott mdr déoslé je suis taré mdr

au passage je VEUX la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
donc tu dépeche mdrrr
bisous chteime trop foreuh

t'as vu un peu sa elle veux nous tuez mdr

ma tite cherie!!!!!!!
c'est trop trop bien, j'exige avoir droit à une suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!^^
je veux savoir comment sa va se passer quand tu seras au courant, comment tu vas faire face a çà!!!!!

bisous jtm et j'attends la suite

alors moi je dis dsl mai javé pa vu ke tavé mi la suite et ossi ke je croi savoir un
truc ke je dirai pa et je tiens a te dire ke si je croisai andreas dans le rue le vrai
andreas le meilleur pote de bill et de tom je ne serais pa le reconnaitre tout
simplement car je ne lai jamais vu lol c'ets ptéte son cas aussi


bizzzouxxx continu ainsi ta fic est génial
continu comme sa

Je le regardais attentivement, et je succombais une fois de plus à la perfection de ses traits. J’évitai son regard, ayant peur de replonger dans ses yeux doux et chaleureux. Je songeais à la phrase, qu’il m’avait adressé quelques seconde auparavant. Soudain mes yeux s’illuminèrent, et un frisson parcouru tout mon corps. Andréas étouffa un rire et leva les yeux au ciel avant d’ajouter :

Andréas : Et moi qui te croyais perspicace…

Il avait raison, malgré son irrésistible accent allemand, j’aurais pu avoir des doutes. De plus, Andréas n’est pas un prénom si courant. Je fit la moue, vexer de ne pas l’avoir reconnu. Andréas me dévisageait toujours.

Andréas : Tu ne pouvais pas me reconnaître, ne sois pas vexer…

Je ne répondis pas, rassemblant dans ma tête tous les indices qui m’avait poussé à cette déduction. Etais-je réellement en face du meilleur ami de Bill & Tom ? Il n’y avait aucun doute la dessus, tout me poussais à croire que c’était vrai.

Moi : je ne comprends pas…
Andréas : pourquoi je ne suis pas en Allemagne c’est ça ?

Je le regardais stupéfaite, puis hocha de la tête. Il gara la voiture à quelques pas du studio, se pencha vers moi et me chuchota : « Sara ». Puis, il me lança un sourire avant de descendre de la voiture. Je compris alors que Andréas avait quitter son pays natal pour s’installer en France avec Sara. Elle avait eu beaucoup de chance, mais Sara méritait d’avoir quelqu'un comme Andréas à ses côtés. Je l’enviais quelques pars. Lorsque Sara me vit, elle me sauta dans les bras et dansa tout autour de moi, sous l’œil exaspéré d’Andréas. Appréciais beaucoup Sara. Elle était belle, généreuse, attentionnée. Chaque seconde était très important à ses yeux, et elle ne voulait rien gâcher. Elle aimait beaucoup faire la fête, c’est d’ailleurs à une fête sur une plage qu’elle avait rencontré Andréas. Nous parlâmes de tout et de rien pendant la soirée, puis il fut l’heure de rentrer. Ce fut Sara qui me raccompagna, Andréas ayant un peu trop bu. Arrivée chez moi, je me démaquilla, me brossa les dents et décidai que je prendrais ma douche le lendemain. Après avoir mis mon pyjama, je m’endormis, enfouis dans ma couette. Comme toutes les nuits, je me réveillais plusieurs fois par des cauchemars en poussa de faible cri. Je ne sortis pas du week-end, ma mère croyant que j’avais attrapé une maladie puisque je ne dormais plus la nuit. Je dut insister pour lui convaincre de ne pas appelé un médecin. Le lundi matin, je m’efforçais de paraître en forme pour aller au lycée. Aujourd’hui n’était pas une dure journée, je finissais les cours à 14h, et Andréas passerait me chercher à 15h. Je traînerais en ville en attendant, et ferais du lèche-vitrines. Le dernier cours, de maths, me parus interminable et je luttais pour ne pas m’écrouler sur la table. Le prof me retint à la fin de l’heure, afin de comprendre la chute spectaculaire de mes notes.

Prof : tu as chuté de 4 point de moyenne Charlène, je me pose des questions…
Moi : je n’avais pas compris ce chapitre…
Prof : tu as eu 2/20 au dernier contrôle, et tu m’as rendu copie blanche à l’interro-surprise.

Je ne répondis pas, attendant qu’il finisse son discours.

Prof : Je pense que la meilleur solution sera de convoquer tes parents afin de…
Moi : inutile ! je ferais de mon mieux pour le prochain contrôle ! je me sentais juste fatigué ses derniers temps…

Voyant mon changement de comportement, le prof préféra me laisser disposer. Je quittais donc l’établissement, il était 14h10. Comment m’occuper avant l’arrivé de mon ami, le lèche vitrine ne m’interessant plus. Je marchais, sans cesser de réfléchir, lorsque je sentis une main se poser sur ma taille. Je poussais un léger cri lorsque j’entendis chuchoter : « chut, tout va bien ». La personne m’entraîna dans une impasse, malgré mon insistance pour qu’il me lache. Soudain, je le reconnus. C’était Enzo, avec le visage beaucoup plus dur que lorsque je l’avais connu, le sourire beaucoup moins aimable. Il murmurait des mots que je n’arrivais pas à déchiffrer. Ses doigts m’attrapent les côtes, il se penche vers moi pour m’embrasser, un baiser poussé et dur. Je n’avais pas la force de résister, c’était tellement bon de le retrouver, même après tout le mal qu’il m’avait fait subir. Je lui rends donc son baiser, ses mains dur et habile se balade le long de mon corps, il passa les mains sous mon haut, puis le retira rapidement. Je pris soudainement conscience des évènements, et le suppliais d’arrêter. Mais celui çi m’écoute pas, devenant de plus en plus agressif, je n’arrive pas à reprendre mon souffle. J’essaie de le repousser, de lui donner des coups de pieds, Mais Enzo me couche sur quelques chose, de dur et froid. Il commence à ouvrir sa braguette, sans cesser de me tripoter. Il commence à tiré sur mon jean, je voulus crier mais aucun son ne sortais de ma bouche. Des larmes me montaient au yeux, je l’entendais me dire « Bébé détend toi, je ferais vite…tu aime ça avoue ». Je continuait de me débattre espérant qu’il abandonnerai l’idée de me faire l’amour, ou plutôt de me violer. Ses doigts se baladaient toujours, partant du haut du dos et descendant vers mon ventre, mes cuisses. J’entendis soudain une voix. Enzo fut arraché de mon corps et expulsé à 3 mètres de moi. Je reconnu alors Andréas. Celui çi était en train de donner des coups à mon agresseur pendant que je me recroquevillais sur moi même. Je vis la bouche d’Enzo en sang, se plaignant, gémissant de douleurs.

Andréas : Estime toi heureux d’être encore vivant, et j’espère que cela te passera l’envie de recommencer pauvre…

Il se pinca les lèvres pour éviter d’achever sa phrase, puis s’approcha de moi. Il ne me restait plus que mon soutif, à moitié arrachée et mon jean tout autant animée. Il retira sa veste et la posa sur les épaules. Il me fit une bise sur le front, Puis il me porta jusqu’à dans la voiture, prenant soins d’éviter les rue trop peuplées. Je m’accrochais à lui et fondit en sanglot

moi je veux la suite ma ptite cherie!!! c'est trop génial, je veux savoir la suite!!!!!

je la veux!!!!!

bisous je t'aime fort!!

je suis là, pour lire ta fic, je suis une fan, et dès que je peux, je veins attendre que tu puisse en rajouter!!!!!!!!!

ouh protecteur andréas
la suite stp

ok ben si tu la met ce soir, j'essairais de la lire demain, si je peux aller a l'ordi!!!!

bisous jtm fort

ok bah vivement ce soir alors
kiss jtdr

super super et super ^^ j'adore troppp vivemetn la suite