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Personnage :

- Moi : euh...rien à dire

- Amélie : Une personne qui existe réelement dans ma vie quotidienne ( et qui est aussi sur le forum...à vous de deviné ^_^ ). Une personne à qui je tient énormément et que j'aimerais remercié pour sa présence à mes côté chaque jour même si je suis insuportable et terriblement chiante ^^. Pour ça Amélie je te remercie...et ch'teymmmmm for ne l'oublie jamais !

- Sara : Personnage de fiction, inspiré par une de mes cousine qui aime vivre sa vie à 100 %

- Andréas : il représente le meilleur ami de Bill & Tom (je tient à preciser que je ne sais absolument pas à quoi il ressemble en vrai ), certes. Mais j'ai voulu faire de lui dans cette fiction, mon idéal masculin. Beau, gentl, doux, protecteur etc...

- juger vous vraiment utile que je présente les membre du groupe Tokio Hotel ? lol

ps : suite de la fiction dans la soirée...

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Il me déposa délicatement sur la banquette arrière de sa voiture, puis s’installa à son tour sur le siège avant. Il démarra la voiture, et fila en direction du studio. Je devinais qu’il était anxieux, il ne respectait pas les limitations de vitesse. Arrivée chez lui, il m’installa sur le divan, où je repris mon souffle. Il faisait les 400 pas, puis s’approcha de moi d’un pas hésitant.

Andréas : est-ce qu’il t’a…pénétré ?

Il fit la grimace en prononçant le dernier mot et je le rassurais

Moi : non, il n’a pas eu le temps…merci d’être intervenu avant…

Il baissa les yeux, veillant à ne jamais croiser mon regard. Il me cachait quelque chose, je le sentais. Il avait l’air anxieux, on aurait même dit qu’il culpabilisait.

Andréas : j’aurais tellement voulu que ça n’arrive pas…
Moi : tu n’y es pour rien…
Andréas : tu ne comprend donc rien ?!?
Moi : comprendre quoi ?
Andréas : j’aurais pu empêcher ce qui t’es arrivée ! C’était tellement facile ! je connaissais ses intentions Charlène, je savais qu’il voulais te violer !

Je lui lançais un regard interrogateur. Il prit sa tête entre ses deux mains avant de s’asseoir près de moi. Il hésita, puis se lança dans ses explications.

Andréas : Crois tu…à la magie, en ce genre de chose.

Prise au dépourvu, je répondit sans réfléchir :

Moi : je n’y ai jamais pensé…j’aimerais y croire mais ce n’est pas facile.
Andréas : Pourtant, quelques fois, au fond de toi, tu y crois
Moi : c’est vrai, mais seulement depuis que…
Andréas : …tu m’as rencontré…
Moi : Oui…Tu es si étrange, je n’arrive pas à voir qui tu es.
Andréas : Je suis étrange, en effet.
Moi : revenons à la magie…qu’est ce que cela vient faire là dedans ?
Andréas : disons que…j’ai un lien très fort avec…ça peut te paraître étrange, mais je possède un sixième sens, en quelques sortes. Enfin, oublions ça.
Moi : non, au contraire, ça m’intéresse…
Andréas : tu y crois ?
Moi : tu lis dans les pensées des gens. C’était pour ça que le premier jour où tu m’as vu tu as dit que j’étais perspicace, inconsciemment j’y avais songé…
Andréas : En effet, et je continu de dire que tu es très…
Moi : non je ne suis pas perspicace ! La preuve, je ne t’ai pas reconnu !

Andréas ria, puis enroulait ses doigts autour des miens. Je posais sa tête sur ses épaules, avant de reverser quelques larmes. Andréas les essuyaient du revers de sa main, me caressais la joue avant de me chuchoter à l’oreille :

Andréas : je ne le laisserais plus jamais te toucher Charlène, je te le promets…
Il dut interrompre sa phrase en entendant la sonnerie de son portable retentir. Il décrochait, et un sourire s’affichait sur son visage. Son interlocuteur devait être allemand, puisqu’il parlait désormais sa langue d’origine, ce qui le rendait encore plus séduisant.

Andréas : Hey ! Salut mon pote ! Bah écoute-moi ça va…la routine. Ouai toujours avec Sara…tu diras désolé à Tom mais avec elle c’est du sérieux. Je sais, mais évitons le sujet stp. Merci. Chez moi pourquoi ? Sérieux ? Tu m’étonne que ça me fasse plaisir mec ! Quand ? Pas de problème…euh avant…j’ai une amie qui sera chez moi. Oui elle est au courant…c’est ça rêve ! bon j’te laisse…ouai c’est ça tchao mon pote !

Et il raccrocha.

raaaa elle est tro bien la suite j ete jure jadore tro tro tro
continu ainsi bizzzouxxx

j'adore trop
la suite c'est pour quand ?

Je ne sais pas...j'essaie de faire vite je vous le promet...Aller un peu de patience ^^ BIISOUS

oui patiente j'essaie bah nan désolé j'y arrive pas lol
j'attend la suite avec impatience

ma puce, je passe en coup de vent, mais juste assez pour dire que vc'est vraiment génial!!!!
je veux tant savoir la suite!!!!!!
je veux sil te plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit!!

bisous jtm fort!!

Je voulus demander l’identité de l’interlocuteur, mais Sara nous interrompis. Elle venait de faire son apparition dans le salon, et lorsqu’elle me vis, elle poussa un petit cri euphorique. Elle remarqua cependant que je n’étais pas au meilleur de ma forme, aussi elle s’approcha de moi. Une épaisse couverture me recouvrait entièrement, et lorsqu’elle voulus la soulever pour s’installer à côté de moi, elle remarquai que je ne portais que mon vieux jean tout déchiré et un soutif. Elle reculait, et chercha Andréas du regard.

Sara : je vous dérange peut-être
Andréas : non, ce n’est pas ce que tu crois bébé…
Sara : ah bon ? cette jeune miss se trouve sur mon canapé, elle est presque dénudé…mais sinon tout vas bien…
Moi : Sara…ne t’inquiète pas, ce n’est pas ce que tu crois
Sara : tu permets ? je parle à mon homme…
Andréas : enlève-toi cette idée de la tête. Je t’aime mon bébé, et cela pour la vie. Je voudrais t’expliquer, mais je ne pense pas que ce soit le moment…
Sara : si, c’est le moment ! je t’écoute…
Andréas : non ça ne l’est pas. Bill & Tom ne vont pas tarder à arriver…

Sara et moi eûmes la même réaction. Un petit cri de surprise, puis le silence. Andréas riait, puis continua :

Andréas : d’ici quelques minutes, ils seront ici. Je viens de recevoir un coup de fil de Bill et…
Moi : et tu nous le dis que maintenant ?
Andréas : oui…Sara, peux-tu donner des vêtements à Charlène, je te promets de t’expliquer juste après ce qui s’est passé…à moins que Charlène veuille s’en charger…
Moi : non…non je ne veux pas.

Sara m’entraînait donc dans sa chambre et me prêta quelques vêtements. Puis elle sortit de la chambre, me laissant seule avec mes souvenirs. Je m’habillais en vitesse, et m’assis sur le lit. Lorsque Enzo avait commencé à m’embrasser et à me toucher, je ressentais plutôt de l’excitation, puis cela c’est vite transformer en souffrance. Il recommencera, j’en suis certaine, et Andréas ne seras pas toujours pas pour empêcher Enzo de parvenir à ses fins. J’éclatais en sanglots, me remémorant le souvenir de cette après-midi. Pourquoi étais-ce si difficile à oublier ? J’entendis Andréas m’appelé, mais je ne réagissais pas. Je me glissais dans la salle de bain discrètement, et sortis une lame qui se trouvait dans ma poche. Je soulevais la manche de mon haut, et laissai la lame glisser sur ma peau. Au bout de quatre entailles, je commençais à voir flou. Cela me procurait de la souffrance, mais ma haine s’évacuait aussitôt. Ce geste me permettait de noyer mes peines, et d’oublier. Oublier. C’était le mot, plus le sang coulait, plus j’oubliais. Je ne ressentais plus rien. Au-dessus du lavabo, j’apercevais seulement le sang couler, se mélangeant avec l’eau. Puis, je me laissais tomber sur le carrelage froid et humide, mes paupières lourdes se refermaient lentement. Je n’entendais plus que des bruits sourd autour de moi, un cri sans doute. Puis plus rien.

ma poupey c'est magnifique!!!! mais c'est triste!!!!!
je veux la suite!!!!!!!
enfin je peux venir et je veux profiter, je veux lire, lire et encore lire!!!!!

bisous jtm!!!

je veux la suite stp
je veux savoir ce qui va se passé

mon kwapo je veux la suite elle est magnifique ta fic!mais d'ou te viens l'idee du 6 eme sens?mdr jtm444444444

Je me réveillais sur le divan, et remarquais la bande blanche qui recouvrait mon bras. Quel tache de sang, qui était passé à travers, était visible. Je voyais encore flou, mais je distinguais très bien le visage penché sur moi.

Bill : Elle a ouvert les yeux ! Tu m’entends ?

Je lui répondis par un léger signe de tête, et vis Andréas et Sara se précipiter sur moi. Je les rassurais sur mon état et ils n’insistèrent pas. Je vis Tom arriver avec une flacon d’alcool à 90°. Il s’approcha de moi, et s’agenouilla pour me mettre ce produit sur mes plaies. Lorsque le liquide fut déverser, je poussa un cri de douleur, et manquai de tomber dans les pommes. Andréas passa la main dans mes cheveux et m’ordonna de me reposer. Je ne me fit pas prier, et je m’endormis aussitôt. Quelques heures plus tard, j’avais repris des forces et je me levais pour rejoindre Sara et les garçons. Sara me pris dans ses bras lorsque elle me vis, et me fit promettre de ne jamais recommencer. Je m’assis timidement à côté de Bill et écoutais la conversation qu’il avait avec son frère et Andréas. Il s’interrompis pour me demander si j’allais mieux et fut rassuré en me voyant sourire. Tom, laissant son frère et son ami parler, vint à ma rencontre et entama la conversation :

Tom : tu m’as fais une de ses peurs, si tu savais ! lorsque je t’ai vu je ne savais pas comment réagir…
Moi : tu n’as jamais fais de stage de secourisme ?
Tom : crois-tu que j’ai besoin d’un stage pour apprendre à faire le bouche à bouche ?

Tom me lança un regard charmeur, que j’ignorais cependant. En d’autre occasion j’aurais été très contente, mais aujourd’hui même cela ne me rendait plus heureuse. Comprenant cela, Tom voulut aborder le sujet qui m’était douloureux.

Tom : Aurais-je le droit de savoir…les raisons pour lesquelles tu as commis ce geste ?

Je ne répondis pas à sa question et luttais contre les larmes qui désirait couler le long de mon visage.

Bill : Tom, laisse-la reprendre ses esprits…
Tom : toi tu es comme Georg, tu es jaloux dés que je parle à une fille…
Bill : à remettre tout sur le dos de Georg à chaque fois, on à vraiment l’impression que tu es jaloux de lui…on va finir par croire que tu essaie de te décomplexer…
Tom : ouais c’est ça…bon moi je vais commander des pizzas…

Tom se leva, mais Sara l’empêcha de quitter la pièce.

Sara : aujourd’hui…c’est régime pour tout le monde ! Jardinière de légumes avec un petit sauté de…
Tom : J’aurais dut m’en douter… -_-‘

Il retourna s’asseoir au coté d’Andréas. Bill, quant à lui, continuait de me dévisager. Gêner, je tournais la tête. Bill s’abandonna donc à sa contemplation, et rejoignit à son tour Andréas. J’allais rejoindre Sara en cuisine, et nous discutâmes un moment, et nous n’évoquâmes pas à un seul moment ma mutilation. Lorsque 18h approcha, j’enfilais mon manteau, et allais prévenir tout le monde de mon départ. Bill sursauta.

Bill : Tu va où ?
Moi : Rassure-toi, je rentre juste chez moi. Ma mère risque de bientôt rentrer…
Andréas : je te raccompagne !
Moi : c’est vraiment gentil mais…je suis en état de rentrer seule.
Bill : ah oui ? Tu trouves ?
Andréas : de toute manière, je ne te donne pas le choix ! En voiture !
Moi *hésitante* : euh…pourrais-je avoir des dédicaces ?

Bill et Tom acquiescèrent, puis ils me griffonnèrent leurs signatures sur un morceau de papier. Un sourire se dessinait sur mes lèvres, puis, je repartis en compagnie d’Andréas. Nous n’échangeâmes pas un mot durant le trajet, et il me recommanda de rester sage lorsque je fut arrivée chez moi. Je passais le reste de la soirée dans ma chambre, mis à pars pendant l’heure du repas. Ma mère et mon père ne se doutèrent de rien. Je montais me coucher vers 22h, et m’endormis aussitôt.

o ta fic est tro bien jadore tro lool est ce ke andréas a dit a sahra se kil sété passé?? bon vite la suite je veux savoir la suite bizzouille

je la suite stp
j'aime trop

Moi j'suis une nouvelle lectrice et j'adore ton histoire, elle est vraiment trés prenante.