trop beau ma louloute!!
j'aime trops'est magnifique stp la suite bizouile chteime fort

oh mon ptit kwapo elle est magnifique ta fic!!j'en ai les larmes aux yeux(encore une fois!XD)en tout cas c'est bien fait pour la gueule à enzo mwahahah il va perir en enfer^^ hum hum..ce qui est sure c'est que je veux une suite!stp(tu m'as roule dans la farine kwapo piano!XD ce que tu m'as dis hier c'est ce que tu as posté!!et pas des trucs nouveaux!donc je sais pas si je te devoile la fin de ma fic^^)gros bisous jtm4444

ma chachouuuuu
comment c'est magnifique!!!!!!
tom qui reste avec elle comme sa, qui veut pas la perdre! c'est trop beau!!!!!
je veux la suite cherie!!!!
je veux savoir!!!
gros bisous jtm fort

J'ai des frissons partout moi en lisant ça, c'est top beau.
Pourvus qu'elle s'en sorte, faut pas qu'elle laisse tombé Tom, c'est pas possible !

Vite vite, la suite !

arrete charène tu vas me faire pleurer

c'est trop beau franchement

et je veux la suite stp

Le brancard s’éloigne, toi dessus. Ils le font monter dans l’ambulance, là où quelques spécialistes prendront soin de toi. Moi aussi je veux prendre soin de toi, te sauver à ma manière. Te chuchoter que je serais là pour toi, charger ton cœur d’amour pour qu’il continue de battre. J’essaie de te suivre, je suis près à monter dans le camion lorsque l’un des ambulanciers me repousse.

Ambulancier : je suis navré, son état est trop critique, vous ne pouvez pas monter avec elle.
Moi : S’il vous plait, j’ai besoin d’elle tout comme elle a besoin de moi. Laissez moi rester avec elle, je vous en prie.
Ambulancier : Non, maintenant, laissez-nous faire notre travail…
Moi : Vous n’avez pas le droit de me l’enlever ! Laissez moi m’endormir contre elle, laisser moi la sauver moi aussi !

J’essaie de forcer le passage pour te rejoindre, en vain. Les portes de l’ambulance se referment derrière toi, je ne t’aperçois plus. J’ai peur de ne plus jamais t’apercevoir. La sirène se déclenche, comme si elle sonnait ta mort prochaine. J’ai le cœur lourd, je ravale mes larmes, tout continuant de pousser l’homme qui me coupe de toi. Une infirmière s’approcha de moi et me pris en aparté.

Infirmière : c’est votre petite amie ?
Moi : Oui.

Puis, s’adressant à l’ambulancier :

Infirmière : laissez le la rejoindre.

A contre cœur, il m’ouvrit les portes de l’ambulance et me laisse grimper. Tu étais là, toujours allongée, les yeux clos. Les spécialistes t’encerclaient, essayant de t’aider à t’en sortir. L’un d’eux se décala pour me laisser prendre place à tes côtés. Délicatement, je posa ma main sur ton front. Rien ne se passa. Tu étais là, devant moi, à t’effondrer et je ne pouvais même pas t’aider. Silencieusement, je te fis la promesse que tu ne partirais jamais sans moi. Mes mains glissèrent, elle s’arrêtèrent sur ton cœur. Il bat encore, mais je sens qu’il se casse. Je n’ose pas te parler, j’ai peur de déconcentré les médecins. Eux, ils parlent. Ils n’arrêtent pas. Mais je ne comprends pas ce qu’ils disent, et j’ai peur de comprendre. J’ai peur que l’un d’eux prononce la phrase que je redoute le plus : « c’est finis » Ton cœur bat toujours. Je l’entends, il résonne en moi comme si c’était mon propre cœur.

Infirmière : elle est inconsciente, ça fais plus de 10 minutes.
Ambulancier : brancher là maintenant, son cœur peut partir d’un moment à l’autre.
Moi : Non, mon bébé, reste avec moi merde ! Ne me laisse pas ! dis moi que tu dors, que tu vas te réveiller maitenant !

L’infirmière te fait une piqûre. Comme si tu n’avais pas eu assez de seringue plantée dans ta peau avec cette putain de drogue !

Infirmière : On arrive. Dépêcher vous de la descendre, on l’emmène.

Cette fois çi, je n’ai pas le droit de te suivre. A regret, je retire ma main de ton cœur. Il bat toujours, mais c’est peut être la dernière fois que je peux le sentir. Ils t’emmènent, je ne sais pas où, mais loin de moi. Dans le hall, une dizaine de fille me sautent dessus, me réclamant des autographes. J’ai envie de les envoyer balader, mais même lorsqu’on est face à la mort, on se doit d’accomplir son devoir. Dans 9 jours, j’ai un concert à donner. Et si jamais tu es morte, je devrais quand même offrir à mes fans un instant de bonheur. Même si je n’ai que l’envie de crever, je devrais sortir des notes de ma guitare. C’est comme cela. Je griffonne quelques autographes, avant de m’éloigner. Seul, j’attends. Je t’attends.

---> Merci de vos commentaires qui m'ont beaucoup touché. Toujours la suite ? <---

trop tristes j'ne ai les larmes aux yeux :S
c'est trop beau, ma louloute stop plait met moi al suite !
pour moi pour nous pour le dernier jour de nos vacs ! stppp
bisous chteime forttttt

C'est tellement beau et émouvant que je ne trouve pas mes mots.
J'ai des frissons partout et les larmes aux yeux.
Elle va s'en sortir hein ? Elle peu pas laisser tombé Tom !
Je veux savoir !

ma chachouuuuuu
c'est trop magnifique!!!!!!
je veux la suite!!!
dis moi qu'elle va guerir, qu'elle va se réveiller!!!!!!!

stp une suite ma puce!!!

gros bisous je t'aime fort

c'est trop triste, même avec le dèsespoire il va faire son concert et va signer des autographes alos qu'au fond il n'en a pas envie c'est telment beau pour ses fans mais aussi pour elle car il ne veut pas qu'elle meurt enfin bref j'adore bissouxx et suite

2 heure 30 que je t’attends, et toujours pas de nouvelles de toi. Entre temps, Bill avait finis par arriver, et à ma grande surprise, il était accompagné par Amélie. Elle dissimulait ses larmes et son angoisse. Lorsqu’elle arriva à ma hauteur, elle se jeta dans mes bras. Elle me demandait de tes nouvelles. Ma réponse fut un simple « non. » Je desserrais mon étreinte. Nous restâmes un moment planté là tous les trois, sans rien dire. Sans bouger. A attendre le verdict. Je fixais la porte par laquelle on t’avais emmené.
Soudain, je la vis s’ouvrir et une infirmière en sortit. Elle jeta un coup d’œil autour d’elle, et vint à notre rencontre. Lorsqu’elle fut plus près de nous, je reconnu l’infirmière qui m’avait autorisé à rester avec toi. S’adressant à moi, toujours en Allemand :

Infirmière : Elle est encore en salle d’opération. Son état est de plus en plus critique, mais elle a repris conscience.

Amélie, laissant couler ses larmes poussa un juron en entendant que ton état ne s’améliorait pas.

Moi : Laissez moi la voir, s’il vous plait.

L’infirmière parut hésiter un cours instant, et finalement se laissa convaincre. Je la suivit, prîmes un ascenseur avant de se retrouver au sous-sol. C’est dingue ce que c’est morbide ici !
Nous marchâmes encore un instant entre les deux murs du long couloir, avant d’arriver devant une porte. Derrière elle, tu t’y trouvais. L’infirmière me lança un regard avant d’abaisser la poignée. J’entrais.

Infirmière : Je vous laisse. A tout à l’heure.

J’avançais pour m’approcher un peu plus de toi. Ta peau était toujours aussi blême, ton visage inexpressif. De nouveau, je posais ma main sur ton cœur. J’attends que tu ouvres les yeux, mais tu ne bouge pas. Pourtant, tu es consciente, je le sais ! L’infirmière l’a dit elle-même, c’est que ça doit être vrai. Je te chuchote :

Moi : Charlène, mon cœur c’est moi, Tom. Est-ce que tu m’entends ? Je veux pas te perde, je t'aime Charlène. Ouvre les yeux, parle moi, dis quelques chose !

Pas de réponse. Les minutes passent, j’ai de plus en plus peur. Les paroles de l’infirmière me reviennent en mémoire : « Son état est de plus en plus critique. » Et si c’était la dernière fois que je te voyais ? Et si je n’avais plus jamais l’occasion de poser mes lèvres sur les tiennes.
Je me penche doucement sur son visage, mes lèvres ne sont plus qu’à quelques centimètres des siennes. J’y dépose un baiser, une de mes larmes à couler sur ta joue.

Moi : Je t’aime, je t’aimerais toujours. Quelques soit l’endroit où tu iras, je partirais avec toi. Que se soit dans ce monde où dans un autre monde.

10 minutes que je suis là à te regarder. Je ne sais pas si je te regarde mourir, si je te regarde souffrir, ou si je te regarde dormir. Au fond de moi, ça me fais mal de ne rien savoir.

rooo j'adore c'est trop triste stp met nous la suite !!
mais je veux pas qu'elle meurt stp

c'est trop triste et trop bien en meme temps

et c'est pour ça que je veux la suite

C'est trop trop triste.
Allez mais réveille toi m*rde !!
Tom il me fend le coeur, super touchant.

Vite la suite, et où elle se réveille hein !!

J'en ai les larmes au yeux

La suite stp

han ma louloute trop beau!!!!!!!!
qu'est-ce que j'aime!!
je veux la suite stop plait
bisous chteime fort

ahhhhh mon dieu ma boule au ventre se fait de plus en plus grosse au fur à mesure que je lis!!!
c'est magnifique!!!!
je veux la suite!!
je veux pas qu'ils meurent!!!!!!

gros bisous jtm ma chachouuuu

10 minutes que je suis là à te regarder. Je ne sais pas si je te regarde mourir, si je te regarde souffrir ou si je te regarde dormir. Au fond de moi, ça me fait mal de ne rien savoir.

Immobile, la main posée sur ton cœur battant, je t’observais. Lorsque soudain, j’eu l’impression que tes lèvres s’animaient. Je les fixais, me concentrais. Elles avaient remué, j’en suis certain !

Moi : Charlène ? C’est Tom, tu m’entends ?

[ Point de vue : Moi ]

Je l’entends, je reconnais sa voix. Je la reconnaîtrais entre mille. J’essaie de lui répondre, de lui dire que je le reconnais, mais ce tuyau coincé à mes lèvres m’empêche de parler. Ouvrir les yeux m’est quasiment impossible, mon mal de crâne est beaucoup trop important. J’ai peur de ne pas m’en sortir, de ne pas le revoir. De ne pas pouvoir lui dire « je t’aime » une dernière fois.

[ Point de vue : Tom ]

J’étais tellement concentré sur le visage de Charlène que je m’aperçu de la présence de l’infirmière seulement après quelques temps.

Moi : Elle a bougé, j’en suis persuadé !
Infirmière : Vous allez devoir nous laisser, les médecins vont la prendre en charge.
Moi : Laisser moi rester, s’il vous plait.

Quelques médecins arrivèrent dans la pièce, me faisant signe de sortir. Je m’exécutais. Désormais, la porte me séparait de toi. Je redoutais ce qui se passait de l’autre coté. Plus les minutes passaient, plus mon angoisse s’amplifiait. La porte s’ouvrit enfin, laissant apparaître l’infirmière.

Infirmière : Tout va bien. Elle est réveillée. Elle s’en sortira.

Je laissais couler quelques larmes. Des larmes de soulagement. Des larmes de bonheur. Des larmes d’amour. Je pénétrais de nouveau dans cette pièce, qui soudainement avait repris vie en même temps que toi. Précipitant le pas, je me dirigeais vers toi.

yééééé tro bien elle s'est réveiller mais maintenant je reveux une suite

c'est court!!! mdrrr je veux la suite moi!!
ah et trop contente que toi dans la fic mdrr tu sois réveillé mdr
bisous et suite louloute!

génial t'es réveillée
j'adore trop

la suite stp

oh c'est trop magnifique j'en ai les larmes aux yeux je veux une suite stp!!je t'aime fort

waou c tro bien ecri !! bravo

[ Point de Vue : Tom ]

Sa main est douce et chaude, elle me rassure. J’aimerais lui dire, j’aimerais qu’il m’entende. J’articule faiblement :

Moi : Tes mains…elles sont douce…Tom, je t’aime
Tom : Moi aussi ma puce, je t’aime. Repose-toi, on parlera plus tard.

Il passa ses doigts sur mes lèvres, avant d’y déposé minutieusement un baiser. Il releva la tête, plongea ses yeux dans les miens, me souris. Je fermais les yeux, mais je sentais toujours le poids de sa main sur mon cœur. Je m’endormis. Combien de temps, je ne sais pas. Ce que je sais, c’est que lorsque je me suis réveillé, Tom était toujours là, à me regarder.

Tom : Ca va mieux ?
Moi : Oui, j’ai bien dormis. J’entendais ta voix dans mon rêve.

Tom souris à cette nouvelle, mais il avait l’air anxieux, comme si il me cachait quelque chose. Je le voyais rarement comme ça, ça m’inquiétait.

Moi : Qu’est ce qui t’arrive ?
Tom : Rien mon ange, je suis heureux d’être avec toi.

Je tourna la tête, lui faisant comprendre que cette réponse ne me convenait pas. Ce qui ne l’empêchais pas de tenter de m’attendrir en me murmurant des mots doux à l’oreille. Il finit par s’interrompre, voyant que je n’étais pas d’humeur.

----> SUITE ? <----