Moi : Trou de c*l.
Bill : Emmerdeuse.
Moi : espèce de c*on.
Bill : c*nne toi-même.
Tom : Ça suffit!!!!
Tom se place entre nous et nous sépare, nous étions près à nous taper sur la gueule…em non quand même pas.
Tom : Je ne sais pas ce qui vous arrive aujourd’hui mais vous êtes encore pire que d’habitude.
Moi : C’est lui!
Bill : C’est elle!
Tom : C’est vous deux! Vous commencez à m’énerver sérieusement là.
Moi : Désolé Tom, tu ne mérite pas d’endurer ça.
Je me colle à lui et Bill se renfrogne.
Tom : Bon ça va mais essayer de faire une trêve pour aujourd’hui.
Il me sourit.
Moi : D’accord.
Bill : Je ne promet rien avec elle.
Tom : Elle a dit qu’elle faisait une trêve alors n’en rajoute pas.
Bill : Bien sur vas-y prend sa défense, miss te fais les beaux yeux et tu envoi chier les autres.
Il est vraiment plus jaloux que je ne le pensais.
Tom : Tu racontes n’importe quoi là. Et toi quand t’as une copine tu ne vois qu’elle alors. De toute façon essai de faire un peu d’effort stp.
Bill : Mouais…
Moi : Oh Tom j’adorerais apprendre à joué de la guitare, tu veux bien m’apprendre?
Tom : T’es sérieuse?
J’hoche vigoureusement la tête en souriant.
Tom : Bon ok.
Moi : Ah merci!!!!!
Je lui fait un smack sonore sur la joue et il rit.
Tom : Mes guitare sont dans ma chambre, viens.
Moi : Oki, oh c’est super j’ai toujours voulu jouer de la guitare.
Tom : Ah oui?
Moi : Oui…(tout bas) je chante un peu aussi mais le dit pas à Bill, il croirais que je veux lui faire compétition.
Il éclate de rire en regardant Bill qui nous suit en silence.
Tom : Et voilà!
Moi : Cool!!!!
To : J’en ai pas beaucoup ici.
Moi : En tout cas elles sont vraiment belle.
Tom : c’est mes bébés.
Moi : Mdr quand t’as une copine elle doit être jalouse.
Tom : C’est peut-être pour ça que j’en ai pas.
Moi : Je vois pas pourquoi t’en aurais pas sinon.
Il sourit, oups ça fait un peu trop drague là.
Moi : Bon on commence!!!!
Tom : Ok

Tu vas le rendre jaloux honteux
allez suiteeeeeeeeeeeeeeeeee

suiiiiiiiiiite

suiiitee

Tom est un excellent professeur, je prend son cours très au sérieux. Au départ c’étais un peu pour faire chier Bill mais je dois dire que je m’amuse vraiment beaucoup. Mais ça semble être une bonne méthode de rapprochement pour Tom, il n’arête pas de se placer derrière moi et de mettre ses mains sur les miennes. Bill est appuyé sur le cadre de la porte et nous regardes l’air furax.
Tom : Voila tu l’as!
Je rit fière de moi. Je sens le regard brûlant de Bill, tout ce qu’il veut c’est se servir de moi, ça me brise le cœur mais je ne dois pas y penser. Tom semble sincère, même si les autres le décrive comme un dragueur il est super avec moi…mais je ne l’aime pas.
Moi : Ils sont très beau ces accord, c’est quoi cette chanson?
Tom : Rette mich, l’une de nos prières.
Moi : Ohje l’ai jamais entendu,
Tom : Pas vrai! Bill faut qu’on lui joue et en plus je crois qu’on à les paroles en français.
Moi : Trop bien!
Tom : Voila c’est ça, sauve moi…Bill tu viens.
Bill :Mouais.
Tom prend une guitare et Bill s’assoit sur le lit à côté de lui. Tom joue les premier accords et Bill commence à chanté. Je suis trop obnubilé pour lire les paroles, les larmes me montent aux yeux sans que je sache pourquoi. Quand ils jouent ensemble le regard de Bill est doux, comme je ne l’ai jamais vus et Tom semble si serein, les yeux fermés. Un frisson me parcours, les notes de Tom me font vibrer et la voix de Bill me transporte, c’est magnifique. La voix de Bill s’arrête et Tom joue les dernières notes.
Tom : Oh miss tu pelure !
Moi : C’était trop beau !
Bill : Tu n’as même pas lu les paroles !
Moi : Je sais…mais reste que c’était vraiment magnifique…je ne sais pas pourquoi cette chanson me touche…
Tom : Qu’est-ce que tu veux dire ?
Moi :Je sais pas mais vous deux en acoustique comme ça c’est incroyable…vous êtes faits pour jouer ensembles.
Tom : Merci c’est gentil.
Bill me regarde bizarrement, il n’a pas l’habitue que je le complimente. Je me penche pour lire les paroles, c’est ça, c’est ce que je ressent, ce que je voudrais dire. Bill…regarde moi, écoute moi, sauve moi, j’ai besoin de toi...et toi tu me hais.
Tom : Sab ça va ?
Moi : Oh oui désolé, je lisais les paroles, qui les a écrit ???
Tom :C’est Bill.
Moi: Ah tu écris vraiment bien, c’est superbe !
Bill : merci…

suiiiiiiiiiiiite

Suiiiiiteee viiiiteee

rhaa elle complimente Bill
allez suiteeeeeeeeeeeeeeeee

C’est lui qui à écrit ça, a-t-il vu l’avenir, il ressentait ça à ce moment, ou alors ça lui vient tout seul ?
Tom : J’hallucine ou vous agissez en gens normaux là.
Moi : Très drôle. Je trouve juste qu’il écrit bien, c’est tout…c’est sûrement sa seule qualité d’ailleurs.
Pourquoi je le provoque…
Bill : Moi au moins j’en ai une.
Tom : Et c’est reparti…
Moi : Ah zut moi qui pensais que mon beau derrière était une qualité !
Bill : Je vois pas ou tas vus quelque chose de beau sur toi.
Moi : Pourtant la dernière fois que j’ai regarder il était bien mon derrière.
Je me lève et me tourne, une main sur la hanche.
Moi : T’es sur ?
Tom me regarde bizarrement mais il louche quand même vers le bas de mon dos.
Bill : Bof.
Je le regarde, je vois une petite étincelle dans ses yeux, il pose ses mains sur ses genoux et crispe légèrement les doigts. Qu’est-ce qu’il y mon Billou, du mal à te retenir ?
Moi : Et toi Tom ?
Tom : Oh moi…j’adore!
Moi: Ben voila c’est gentil !
Je me rassoit et croise les jambes, vu le regard de Bill, je sens que je vais en entendre parler.
Moi : Je suis assoiffé moi !
Tom : Ouais moi aussi !
Je ne crois pas qu’on parle de la même chose là…moi j’ai juste soif…lui pas sur.
Tom : Je reviens, je vais chercher de l’eau.
Il sort et comme je le pensais Bill fonce sur moi, il me tire et me plaque contre lui, une main sur ma nuque.
Bill :À quoi tu joue là !
Moi : Y’a pas que toi qui peux jouer par la provoque.
Je le regarde avec un sourire en coin, il veut jouer avec moi, on va s’amuser.
Bill : Tu…
Il ne fini pas sa phrase et m’embrasse fougueusement. Qu’est-ce qui lui arrive ? Il est bizarre…plus que d’habitude. Quel est vraiment le fond de sa pensé, il me déteste vraiment ou bien il transforme ses sentiments en…violence. Quel mec étrange, il est jaloux mais continue d d’être chiant avec moi. Il me lâche et se rassoit.
Tom : Comment ça se fait que chaque fois que je vous laisse seul, l’ambiance est à coupé au couteau.
Moi : Parce que je le hais !
Un silence plane, je l’ai vexé, tant mieux, il regarde le mur. Je prend le verre que Tom me tend.
Moi : Merci Tom.
Tom : tu sais bizarrement malgré toutes vos engueulades je croyais que vous vous aimiez bien, je croyais que c’était plus un jeu qu’autre chose.
Moi : C’était ça pour moi au début mais l à dépasser les bornes.
Je croise son regard, ses yeux foncé maquillé de noir semble ajouter un coté sombre et dramatique à tout ça. Il soutient mon regard, qu’est-ce que ce sentiments que j’y vois…c’est…différent.
Tom : Je ne pensais pas que c’était à ce point.
Si tu savais Tom…

Uiite Suiite Suiite stp

suiiiiiiiiiiiiite j'kiife trop cette fic' serieux

allez encore
suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

Tom : Ou tu vas ?
Bill : Me promener.
Il enfile une casquette ,un grand chandail à capuchon, me jette un regard et sort en enfilant des lunettes noirs.
Tom : Ça va ?
Moi : Oh ee oui.
Il me regarde bizarrement.
Tom : Tu n’a pas l’air bien, je te ramène si tu veux.
Moi : Je…ouais je crois que je suis fatigué.
Tom : Ben va te coucher alors ^^
Moi : Bonne idée.
Il me ramène et je le sers dans mes bras.
Moi : Merci Tom t’es vraiment sympa.
Tom : Quoi, de te raccompagner ?
Moi : non tes juste toujours gentil avec moi.
Tom : Ça me fait plaisir…je suis content de t’avoir rencontré.
Moi : Moi aussi, bye
Tom : Bye…
J’entre dans mon immeuble, je m’en doutais.
Moi : Qu’est-ce que tu veux ?
Bill : Tu semble bien t’entende avec Tom.
Moi : Ça ne te regarde pas, je ne suis pas à toi et lui au moins il me respecte.
Bill : Moi aussi je te respecte.
J’ai un petit rire jaune. Il me suis dans les escaliers, mon cœur me joue des tours, je voudrais lui dire de partir mais je n’y arrive pas,
Moi : Laisse moi rire, tu ne me respecte pas. Tu te sers de moi, c’est tout. Je te hais vraiment.
J’ouvre ma porte et il se faufile pour passer avant moi.
Bill : C’est faux.
Moi: Qu’est-ce que t’en sais et puis toi aussi tu me hais, sinon tu ne me ferais pas ça, au pire tu te serais contenter d’une seule fois.
Je referme la porte et il me regarde intensément.
Bill : Tu ne me déteste pas et moi non plus je ne te déteste pas.
Moi : Ouais c’est ça.
Bill : c’est vrai !
Moi : Va-t-en stp.
Bill : pas avant que tu m’ai écouter.
Moi : Tu veux dire pas avant que je t’ai laisser me sauter dessus comme un sauvage.
Bill : Non, je n’ai pas l’intention de te sauter dessus.
Moi : Alors pourquoi tu reste, laisse moi tranquille, tu ne trouve pas que tu en a assez fait comme ça.
Bill : Mais écoute moi.
Moi : Ben parle je t’écoute depuis tout à l’heure mais tu ne dis pas ce que tu veux supposément me dire.
Il s’approche de moi et pose ses mains sur mes épaules en me regardant dans les yeux. Pourquoi je fond chaque fois qu’il me regarde…mais son regard est différent de d’habitude, il n’y a pas de haine ou d’étincelle d’envie. Je détourne le regard.
Bill : Regarde moi.
Je lève de nouveau les yeux.
Bill : Je t’aime.

aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

trop biiiiiiiiiiiiiiiiiiiien

suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite xD

Rhooo allez je veux savoir moi
Suiteeeeeeeee

Je veux savoir moi aussi suiitee

Bill : Regarde moi.
Je lève de nouveau les yeux.
Bill : Je t’aime.
J’ouvre grand les yeux, rien, rien ne peux d’écrire le sentiments de haine que je ressent envers lui à cet instant, comment ose-t-il.
Moi : NON ! Tu mens, tu mens, tu ne m’aime pas, si tu m’aimais tu ne m’aurais pas fait mal comme ça.
Bill : Mais c’est la vérité…C’est vrai que je te détestais au début puis il y a eu ce…cet attirance incontrôlable et avec le temps j’ai fini par t’aimer. Comme un fou, je t’aime, juste l’idée qu’un autre pourrais ne serais-ce que te regarder me…
Moi : Non ! Je te déteste, je déteste ! comment tu peux me dire un truc pareil. T’as fait que jouer avec moi, tu savais très bien que je voulais plus, que je ne voulais pas ça !
Bill : Je suis désolé.
Moi : Va-t-en
Bill : Mais…
Moi VA-T-EN !
Il me lâche lentement, il garde la tête baisé, je tremble. Pourquoi, pourquoi il a fallu que se soit comme ça, pourquoi il a fallu qu’il me rappelle tant de mauvais souvenir. Il l’avait dit LUI aussi et c’était faux, comment pourrais-je le croire ?
Moi : Va-t-en je t’ai dis !
Il recule lentement et je détourne le regard. Je ne peux pas le croire, je n’en ai pas la force, je croyais que c’était fini tout ça. Je croyais que j’avais réussi à fuir la douleur, les souvenirs, ça fait trop mal, je ne peux pas.
Bill : Non…je ne peux pas partir….je sais que je t’ai fait du mal et je veux me racheter.
Moi : Y’a rien qui peux racheter les souvenirs atroce que tu m’as rappeler.
Bill : Des souvenirs ?
Hé merde pourquoi je lui ai dit. Qu’il me laisse qu’il parte, j’en peux plus, je veux mourir, qu’il me laisse tranquille.
Sab : Va-t-en, va-t-en, je te hais.
Je commence à le marteler de coup sur la poitrine, je n’arrive pas à retenir mes larmes. Il me laisse faire sans broncher.
Sab : Je t’ai dit de foutre le camp.
Je cesse de le frapper pour lui montrer la porte.
Bill : Ça va tu t’es bien défoulé sur moi ?
Moi : quoi ?
Bill : Je sais très bien que c’est pas à moi que tu en veux. J’ai fait une erreur mais elle n’est pas impardonnable, il y a quelqu’un qui a fait une erreur impardonnable dans ton passé et tu te venge sur moi.
Non non il n’a pas dit ça, comment il eut savoir, comment….non.
Sab : NOON VA-T-EN
J’ai hurler avec tant de rage qu’il recule, hésite et part enfin. Je m’écroule en larmes, couché en boule sur le sol et je pleure toutes les larmes de mon corps. Comment il sais, comment il peut savoir, pourquoi a-t-il dit une chose pareil ? Je pleure mon désespoir. Ce que je peux être idiote parfois, on ne peut pas fuir le passé, ça fini toujours par nous rattraper et nous sauter à la figure. J’ai cru que je pourrais être heureuse mais il a fallu qu’il débarque avec son regard, sa voix, son corps, il a fallu qu’il me rende folle, qu’il me fasse mal, je ne veux plus, je n’en peux plus.

suiiiiiiiiiiite

suiitee

rhoo c'est poignant quand meme
allez suiteeeeeeeeeeeeeeee

Je me lève lentement , tout mes gestes sont douloureux, comme si le fait que mon cœur souffre mon corps aussi.
Toc toc
Merde qui vient cogner à cette heure il est huit heures du mat et j’ai pas dormi.
Je vais ouvrir en grommelant.
-oula tas pas l’air bien toi.
Moi : J’ai déjà vu mieux. Qu’est-ce qu tu fais ici à cette heure, tu disais pas que t’es un dormeur.
Tom : Oui mais…j’ai pas dormi.
Moi entre mes dents : Ah toi non plus.
Tom : Hein ?
Moi : Rien. pourquoi t’as pas dormi ?
Tom : J’ai pensé…à toi.
Je le regarde avec des yeux ronds, hé merde pas un autre.
Tom : Je veux dire à nous, je voudrais enfin que…
Moi : Oh Tom…je suis pas vraiment en état de pensé à ça, je vais pas bien en ce moment.
Tom : Mais…justement je veux que tu ailles bien, je veux prendre soin de toi.
Moi : Tom je…écoute.
Je pose ma main sur mon front, j’ai un de ces mal de crâne.
Moi : Je t’aime vraiment beaucoup t’es un gars super mais, enfin, t’es comme mon meilleur ami ou même un frère…
Tom : Tu es sur ? Tu sais que ça clique entre nous !
Moi : Comme ami Tom, on délire on s’amuse bien mais c’est tout…
Il à l’air triste mais je ne peux pas , j’ai essayé mais je n’y arrive pas, je ne peux pas le voir autrement que comme un ami.
Moi : Je suis désolé tom si je t’ai fait de faux espoir, j’ai vraiment voulu essayé de t’aimer mais je n’y arrive pas…
Tom :…ok….je suis désolé de t’avoir déranger.
Il se dirige vers la porte.
Moi : Mais Tom ! Pars pas comme ça !
Tom : J’ai…je reviens te voir demain, repose toi tu as l’air vraiment très mal.
Il sort et je soupire, je ne veux pas le perdre, ce n’est vraiment pas le temps de perdre quelqu’un de précieux. Je m’affale sur le canapé quand tout à coup j’entend des cris dans l’escalier.
-Mais qu’est-ce que tu fous ?
-Je suis venue la voir, j’ai le droit.
-Putin même après ce que j’e t’ai dit hier.
Mais qu’est-ce qui se passe. Je me lève en grimaçant et ouvre la prote, je reste figé parce que je vois. Tom est dos à moi et Bill lui fait face, ils se fusillent du regard.
Moi : Mais que…
Ils me regardent tout les deux.
Bill : Saby je suis désolé je sais que tu ne veux pas me voir mais je voulais savoir comme tu allais et je l’ai vu.
Il semble vraiment en colère…jaloux.
Tom : J’ai le droit de venir la voir c’est mon amie !
Bill : Ouais c’est ça je suis pas con, j’étais juste derrière la porte, tu sais très bien que je l’aime je te l’ai dit hier et tu te décide à lui faire une déclaration.
Tom : Elle veut pas de toi !
Bill : Elle veut pas de toi non plus !
Moi : STOP !
Tom : Elle veut pas de toi !
Bill : Elle veut pas de toi non plus !
Moi : STOP !
Ils sursautent et se tournent vers moi.
Moi : Mais c’est quoi ça ! Vous êtes que des gamins, vous avez un problème. Jaloux et possessif tout les deux, vous pouvez bien être frère ! Bill je veut pas de toi parce que tu as carrément été cruel et Tom parce que t’es qu’un ami. Maintenant vous allez me faire le plaisir de partir d’ici !
Bill : Je…
Il s’appui sur le mur et se laisse glisser en posant ses mains sur sa tête.
Bill : Je suis tellement désolé.
Oh mon dieu je rêve, il pleure à chaudes larmes. Mon cœur se serre, je me retiens de ne pas aller le serrer dans mes bras, je lui en veut trop pour faire ça. Tom s’approche de lui et pose sa main sur son épaule.
Tom : Je suis désolé petit frère, j’aurais pas du venir après ce que tu me l’ai dit.
Bill : T’as rien fait de mal, je suis un monstre je la mérite pas, je…
Oh il va me faire pleurer, je fais quoi là, je me sens atrocement mal…et dire que je lui ai hurler que je le détestais pensant qu’il faisait semblant.
Tom : Debout.
Il l’aide à se lever et ils remontent les escaliers vers moi, je recule à l’intérieur, je ne sais pas comment réagir. Ils entrent dans mon appartement et Bill s’assoit sur mon sofa, tom me regarde puis s’en va mais que…
Je me retrouve seul avec Bill et je n’ose même pas le regarder, j’ai mal moi aussi, il m’a fait mal, je ne peux pas…
Bill : Je ne pourrai jamais assez te demander pardon, rien ne peut me racheter…
Je me décide enfin à le regarder, son maquillage à légèrement couler et il a les yeux mais il n’en ai que plus beau.
Moi : Tu avais raison.
Bill : À propos de quoi ?
Moi : De mon passé…tu a fait remonter tellement de souvenirs.
Il se lève et s’approche lentement de moi.
Bill : Je ne sais pas ce qui m’as pris, je n’ai jamais été comme ça et je ne veux plus jamais l’être. Je ne suis pas comme ça…je suis doux et romantique, je pourrais te le prouver si tu le voudrais bien.
Il s’approche toujours, chaque mots qu’il dit me transperce le cœur, me fend l’âme. Je lui en veux mais je l’aime et j’ignore si je pourrais lui pardonner. Il m’a fait mal, il a jouer avec moi, comme l’autre, suis-je condamné à ça. Je ne mérite pas d’être heureuse ? D’être amoureuse ? D’être aimé ?
Moi : Je ne veux plus souffrir Bill, je n’y survivrais pas, j’ai déjà failli en mourir, je ne veux plus que ça m’arrive.
Bill : Ça ne t’arriveras plus, plus jamais, la seule chose que je veux c’est te rendre heureuse. Je veux briser cette carapace froide, je sais que tu es douce et tendre au fond de toi mais tu as peur. Je ne veux plus que tu es peur je suis là pour toi, je te demande pardon pour tout.
Il pose sa main sur ma joue et plonge son regard dans le mien, j’en frissonne.
Bill : Tu me pardonneras un jour ?

Wouawj'en ai des frisons . Tom et Bill qui se defit et Tom qui lui avoue. Bill a la fin ses excuse wouaw C'est trop magnifique suiste je ten supli suite Bisous

suiiiiiiiiiite

Trop mignon
Suiteeeeeeeee

Il pose sa main sur ma joue et plonge son regard dans le mien, j’en frissonne.
Bill : Tu me pardonneras un jour ?
Moi : Je ne sais pas Bill.
Bill : Laisse moi au moins essayé de me racheter stp.
Il ne cesse d’approcher son visage du mien, nos lèvres à quelques centimètres, nos yeux ne se quittent pas.
Bill : s’il-te-plait
Ses lèvres frôlent les miennes, mon cœur bat si fort qu’il me fait mal, je suis sur qu’il peut l’entendre. Je me dis que je devrais l’arrêter mais j’en suis incapable, comme chaque fois qu’il m’approche, chaque fois qu’il me touche, je ne peux pas le repousser. Ses lèvres se posent délicatement sur mes lèvres, douces, hésitante, tendres. Je ne lui pardonne pas mais je peux lui laisser une chance, une chance de se racheter et peut-être que pour une fois je serai heureuse. Il met ses bras autour de moi m’attirant contre lui, je m’accroche à lui, une mains dans ses cheveux l’autre agrippant son t-shirt. Nos lèvres se séparent et il appui son front contre le mien, je crois qu’il sourit.
Bill : Je t’aime, il faut que tu me fasse confiance.
Je ne répond pas, que puis-je lui dire, bien sur que je l’aime mais lui faire confiance, j’ai encore un peu de mal.
Bill : Viens.
Il prend ma main et m’entraîne dans la chambre.
Moi : Tu ne vas pas recommencer.
Bill : Mais non, je veux juste qu’on s’installe confortablement.
Il se couche sur le lit et m’attire contre lui pour que nous soyons face à face. Il m’embrasse tendrement, des frissons me parcourent la corps, il ne m’a jamais embrasser comme ça, personne ne m’a jamais embrasser comme ça. Il caresse mon bras et me sourit.
Bill : Tu veux me parler ?
Moi : De quoi ?
Bill : De ce que tu veux.
Moi : Tu veux que je parle de mon passé ?
Bill : Seulement si tu as envie.
Je prend une grande inspiration, je crois qu’il a au moins le droit de savoir pourquoi j’ai si peu confiance.
Moi : Les souvenirs que tu m’as rappelé c’est mon ex…il n’étais pas très tendre, pas violent mais pas tendre. Il était dealer de came, il espérais me faire tomber dans son enfer.
Il m’écoute en silence, son regard est tendre, il me caresse doucement le bras et les cheveux, il est si…je ne sais pas mais je sais que je suis bien. Je lui parle de mon passé, ma douleur la première fois que mon ex m’avait forcé…de son indifférence lorsque l’un de ses amis avait tenté de me violer. Je lui parle de tout ce que j’ai vu, entendu, de la violence dans laquelle je vivais, j’ai été chanceuse qu’il ne me frappe pas. Je lui raconte que j’ai du déménager en France pour me protéger de lui, à cause de ses menaces. Puis une fois que je me suis vidé le cœur, nous continuons de parler, de notre enfance, de nos rêves, je découvre bien des choses que les fans ne savent pas. Nous nous embrassons, caressons, nous rions, je me sens plus heureuse que jamais, peut-être que je peux lui pardonner finalement.