Moi : - je crois que je sais... en passant, je ne les trouve pas beau !
Kimmy :- oh que oui !
Moi :- tu ne peux pas le savoir, tu n’es pas dans ma tête.
Amandine :- je te connais comme si je t’avais tricoté !!!
Moi :- je dois aller travailler.
Amandine :- à plus tard !!!
J’arrivais à on bureau. Je vois un papier et un crayon. Un poème en tête...un désastre...

When I hear your name
It’s not the same
Cause it breaks my heart
And you know, it hurts

You’ll never be mine
I’ll never be fine
I’ll never be with you
And I can’t live without you

qui veut une suite???

Je laissais négligemment cette feuille sur mon bureau. Je regardais ma montre, il était 3 :30. Mon patient devrait bientôt arriver. Un nouveau, je crois. Bref, encore besoin de mes oreilles pour écouter, encore besoin de ma bouche pour parler et encore besoin de mon cerveau pour trouver des conseils et des solutions. Je regarde ma montre. 4 :30. Le patient est sacrément en retard! J’ai surement le temps de lire un bon livre en attendant!
Je regarde dans ma bibliothèque personnelle.
Moi :- non, pas de livre dépriment, non, pas de livre d’aventure, non, rien d’intéressant.
... :- excusez, où dois-je aller?
Je sursautai. C’est qu’il m’avait fait peur, ce garçon. Je me retournais.
Moi :- vous avez un rendez-vous?
... :- oui, je viens voir une certaine psy appelé Isabelle Klein.
Moi :- c’est moi-même. Vous devez être mon patient.
... :- oui, moi c’est Bob, Bob l’éponge.
Ok, il avait un certain problème de personnalité.
Moi :- bonjour, Bob, veuillez vous assoir sur le petit sofa le temps que je trouve votre dossier.

Là, il s’est mi à chanter la chanter la chanson de Bob l’éponge. Ça me donne carrément mal à la tête. Le pire est que sa face me dit quelque chose. Je regardais son dossier. Nom : Alex **** âge : 19 ans. P*tain de b*rdel de m*rde. Je ne me sens pas très bien.
Moi :- vous pouvez attendre deux petites minutes le temps que j’aille boire un peu d’eau?
Ça ne peut pas être lui, quand-même...il est parti il y a trois ans sans laisser aucune nouvelle...ok, j’y retourne.
Moi :- je suis de retour.
Bob :- ok, tout le monde me dit que je m’appelle Alex, mais moi c’est bob.
Moi :- avez-vous déjà eu des problèmes de dédoublement de la personnalité?
Bob :- non, jamais. Vous n’avez pas vu Patrick?
Moi :- non, désolé.
La séance se déroula comme ça.
Moi :- la séance est terminée. La prochaine fois, vous irez avec dr.charle.
Bob :- bob l’éponge carré!!!
Moi :- je me demande comment j’ai fait pour le supporter toute la séance. C’est surement pas le Alex que j’ai connu...

Il partit. Me laissa seule et mélancolique.
Mes pensées erraient dans ma tête. Ce qui me donnait un de ces mal à réfléchir!!! Je regardais mon agenda, debout contre le mur quand mon téléphone sonna.
Moi :- oui, allo?
... :- salut isabelle! Ça va? C’est Georg à l’appareil.
Moi :- salut!!! Je vais très bien, j’ai un nouveau patient qui se prend pour bob l’éponge.
Georg :- ok...étrange!
Moi :- très. Je crois même que c’est le même Alex que j’avais connu.
Georg :- ???
Moi :- c’est une longue histoire... et toi, ça va?
Georg :- oui, trop. On fait des concerts dans toute l’Europe et les fans sont incroyables! Il y en a même qui dorment là trois jours avant le spectacle!!!
Moi :- c’est super!!!
Georg :- oui, vraiment. En plus, elles sont super sexy...complètement mon genre. Avec les cheveux foncés et les yeux pâles.

Ouyaya...c’est quoi ce petit picotement que je ressens? Est-ce de la jalousie? Non, je dois me reprendre...

Moi :- c’est super!

Mon ton sonne faux, non?

Georg :- je dois te laisser, on doit répéter pour le concert de ce soir. On rentre en Allemagne dans un mois et demi.
Moi :- alors, bye. À dans plus tard...
Georg :- bye!

Je raccrochais. Et me laissai glisser sur le bort du mur. Il trouve les françaises sexy... cette phrase me tournait et me retournait dans la tête. Mais qu’est-ce que j’ai? Non, je ne suis pas jalouse. Jalouse de quoi? Hum? Non, je ne l’aime pas. D’accords, c’est totalement mon genre de gars, mais quand même, soyons réaliste... zut, encore un fichu poème en tête...

Dès que je t’ai vu
J’ai vraiment su
Que j’étais pas pour toi
Et que tu n’étais pas pour moi...

Je suis réaliste
Alors je t’ai rayé de ma liste
Des gars bien pour moi
Car tu l’étais trop, toi.

J’avais vraiment mal à la tête. Je pris des cachets. C’était vrai que je n’ai pas vraiment dormis la veille. Je n’avais que son visage en tête. Toujours la même phrase qui me tournais dans le cerveau sans trouver la sortie. Je prenais mon MP3. Vulnerable de secondhand serenade. Toujours la bonne chanson au bon moment...je ne sais jamais comment mon MP3 sais comment je me sent. Mais, toujours la bonne chanson pour me déprimer. Ok, je déprime facilement, mais quand même, il doit lire dans les pensées, ce machin.
Moi :- il faudrait peut-être que j’aille à l’appart, il se fait tard.
Je commençais à ranger mes dossiers. Quand j’eu terminé, je fermai mon tiroir. Je sortit du bâtiment et me dirigea vers mon appart.

(1 mois et demi plus tard)
Le mois s’était passé de la même manière. Georg m’appelais une fois par semaines pour avoir des nouvelles de Kimmy et d’Amande. Il m’a dit qu’il a rencontré une fille géniale. Ouai...rien qu’à y penser j’avais le sang qui bouillait. Il rentrait en Allemagne ce jour là. E me demandais bien si il viendrait avec cette fille. Mes amies me trouvaient étrange ces temps là. Trop renfermée sur moi-même. Je ne mangeais presque plus. encore un poème en tête...

I try to smile
But my heart cries
I don’t know why
There are tears in my eyes…

Am I jealous?
No, I’m not
There’s a little voice who says
That I am…

oups! le "E" est "Je" ok?

oh non j'avais du retard j'ai loupé tout ça ! bah j'merite une claque moi ! c'est toujours aussi genial ! J VEUX UNE SUITEUH !!!! ET VITEUH !!!!!!! na !

Je regardais nerveusement ma montre. Il arrivait trente minutes plus tard.. J’étais à l’aéroport. Je le vis arriver. Il avait beaucoup de valises. J’accourais pour l’aider avec un sourire qui s’évanouit aussitôt que je vis une jeune femme qui les suivait. Je me forçai à sourire en les aidant à mettre les valises dans le coffre de la limousine.
Moi :- bye, je dois rentrer.
Georg :- tu ne viens pas avec nous dans la limo?
Moi :- je ne veux pas déranger.
Georg :- mais tu ne déranges pas!
Moi :- je dérange tout le temps.
Je m’en allai sans un regard. Je dérange tout le temps et je n’aime pas tenir la chandelle. Je me dirigeai vers ma voiture. Oui, j’ai une voiture. Elle n’était pas très chère. Elle est assez petite mais j’ai de l’Espace pour respirer, elle est noire et blanche avec des motifs rouges que j’avais fait. Je mis la clé dans le contact. Je pris la route pour aller à l’appart. Rendue, je vis un mot d’Amandine. « Tom m’a invité au McDonald! Il y a des spaghettis dans le frigo si tu veux. » et un message de Kimmy «Bill m’a invité au petit restaurant du coin de la rue. Il y a de quoi préparer des tortellinis dans le frigo. » décidément, ils voulaient tous que je mange. J’avais pas faim.

rooo faut quand meme qu'elle mange !!!!!!et oui la merdeuse de retour!!!!t'a pas de chance dis donc !!! lol !!! j'veux une suite !

(Narrateur Georg)

Isabelle venait de partir. J’étais figé par sa dernière phrase. « Je dérange tout le temps » qu’est-ce qu’elle entendait par là?

Kali :- je crois qu’elle à pensé qu’on sortait ensemble...
Moi :- non! Pas vrai! Ouyaya! Quand-même! Tu sors avec mon meilleur ami!
Kali :- mais ça, elle ne le sait pas.
Moi :- et, qu’est-ce que ça lui ferait, même si je sortais avec une fille?
Kali :- les gars sont aveugles comme des taupes...
Moi :- oui et? Réponds!
Kali :- je crois, à ce que j’ai vu, qu’elle t’aime bien.
Moi :- c’est normal, m’est mon amie.
Kali :- d’une autre façon.
Moi :- je sais, je suis beau!
Kali :- Georg, on ne te changera jamais...
Moi :- non, vous m’aimez pour ça!!!

Kali leva les yeux au ciel

non mais franchament il est vraiment aveugle !!!!

(Narrateur moi)
J’allais me coucher directement. Je ne me sentais vraiment pas bien. J’avais une chanson dans la tête. Silent scream de cinema bizarre. Décidément, toujours la bonne chanson!!! Je n’arrivais pas à dormir. Je sortis dehors. Il pleuvait. Je ne prenais même pas la peine de mettre mon capuchon. Je m’étais dit qu’au pire, j’attraperais une pneumonie. Je m’en allais dans mon coin préférée. Le fond du parc. Ce n’était pas trempé grâce à l’arbre géant. Je m’assis au pied de celui-ci. Puis, confortablement installée dans mon sweatshirt, je m’endormis. Sans soucis, sans réfléchir à que j’avais oublié mon cellulaire à la maison et que les deux autres filles pouvait s’inquiéter. Le lendemain matin, je me réveillais. À la même place, mais il faisait soleil. Ça fait mal aux yeux. Je me levais et regardais le parc. J’étais comme à moitié endormie. Je vis amandine courir à travers le parc. Qu’est-ce qu’elle fait là? Me demandais-je. C’est quand e l’entendis crier mon nom à travers le parc, que je compris. Là, j’étais mal. J’allais recevoir quelques claques derrières la tête... je me rendis vers la maison. Kimmy était à la porte. Elle ne m’avais pas encore vu. Vite, la fenêtre! Ma chambre est trop haute. Le salon, trop bas. La cuisine, parfaite. En plus, elle était ouverte. Un, deux, trois, go!!! Je me glissais par le fenêtre. J’avais comme on dit, raté ma trajectoire et à la place, j’ai comme foncé dans le mur et ça a fait « crak ».
Moi :- mmmmmmpppphhh
Mon nez! Je réessayait et réussit. En cassant mon pot de fleur au passage. J’avais juste oublié de regarder si il y avait quelqu’un dans la cuisine.

oooo mais elle va pas bien des fois ! J'ADORE GRAVE !!!!!!!!!!!!!!!!! c'est genial !

C’est seulement quand j’entendis :
... :- isabelle!
Que je su que je n’étais pas seule. Je me relevais ou plutôt essayais car, quand on vient de recevoir des éclats de céramique dans les bras, et qu’on a le nez cassé qui saigne, c’est pas faciles.
Moi :- aie!
J’étais comme un peu étourdis. C’était surement normal. Je me suis relevée comme si de rien n’était et montai les escaliers. J’allais vers la salle de bain. J’enlevais les bouts de céramique et désinfectais les plaies. Je mis des bandages. Maintenant, mon nez. Ça, ça ne va pas être facile. Vu la direction où mon nez allais, il était cassé. Je commençais par faire arrêter le saignement. Moi qui n’avais jamais saigné du nez, ce n’était pas facile. Ensuite, je le remis dans la bonne direction dans un craquement sourd et lui mit, lui aussi des bandages. Je me regardais dans le miroir. Honnêtement, je n’ai pas bonne mine. Je me rendais tranquillement à la cuisine où amandine, Kimberly et Georg m’attendaient. Je me préparais psychologiquement aux claques que j’allais recevoir. J’arrivais t me pris quelques chose dans le frigo. Un bon verre de lait va me faire du bien avant une ou deux bonnes paires de claques.

2 ou surement 3 !!!! lol
et oui déjà tout lus ! niark niark !!!!! j'ai de l'avance par rapport aux autres !
c'est toujours aussi bien ! au moins y'a de l'action !!!