je ne suis pas sure si je vais pouvoir en mettre d'autre ce soir,c 'est la fête d'amie de mon amie amandine.



Amandine :- isabelle?
Moi :- oui?
Amandine :- mais où étais-tu passée?
Moi :- au même endroit que d’habitude.
Amandine :- et c’est où, ça?
Moi :- dans le parc.
Amandine :- où as-tu passé la nuit?!?
Moi :- dan le parc.
Kimmy :- il y a plein de drogué dans ce coin là!
Moi :- pas où je vais.
Amandine :- en plus il pleuvait! Et comment t’es-tu fait ça aux bras et au nez?
Moi :- j’ai foncé dans le mur et j’ai cassé un pot de fleur.
Amandine :- tu n’avais même pas ton cellulaire!
Moi :- et?
Amandine :- il aurait pu t’arriver n’importe quoi!

j'veux la suite !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Moi :- est-ce qu’il m’est déjà arrivé quelque chose dans ce parc?
Amandine :- tu es déjà allé dormir là?
Moi :- oui, souvent même.
Kimmy :- ah oui? Et quand?
Moi :- je suis très discrète quand je veux.
Kimmy :- Ouai, comme un éléphant en pleine ville!
Moi :- gna, gna, gna.
Kimmy :- mais il y a des dangereux dans les parcs!
Moi :- t’es pas ma mère, alors, ne me dis pas ce que je dois faire!
Kimmy :- tu es tellement irresponsable qu’il faudrait que ta mère te suive partout!
Je sortis comme une furie en claquant la porte. Je déteste qu’on me dise qu’est-ce que je dois faire. Où est-ce que je peux aller? À la prison... J’allai voir Julien. On discutait.
Julien :- le pire, c’est qu’elle sait que tu n’aime pas qu’on te dicte quoi faire.
Moi :- on dirait presqu’elle a fait exprès.
Julien :- Ouai.

Je sortis de la prison en traînant les pieds. L’heure de visite était terminée. Je me demandais bien où je pouvais aller. Je pourrais bien aller dans le parc, mais amandine et Kimberly savaient que j’ai une cachette là bas. Pas grave, me dis-je, j’y vais quand même. J’y allais. J’étais assez fatigué pour faire une petite sièste. Quand, tout à coup, quelqu’un arriva.
... :- isabelle? Je sais que tu es dans les alentours, réponds-moi s’il te plaît.
Moi :-...
... :- allez, c’est Georg qui te parle.
Je le savais quand-même. Je sais reconnaître sa voix entre milles.
Moi :- qu’est-ce que tu me veux?
Georg :- t’es où?
Moi :- réponds-moi avant.
Georg :- je te cherchais, j’étais inquiet.
Moi :- pourquoi inquiet?
Georg :- tu es mon amie, c’est normal que je m’inquiète, non?
Les mots amis m’ont frappé comme un poignard en plein cœur.

Et bien, c'est qu'il s'en ai passer des choses depuis mon bug informatique !!!
Mas ça va, je suis toujours.
La suite !!!!

Moi :- tu es seul?
Georg :- oui.
Moi :- devant toi.
Georg :- quoi?
Moi :- regardes devant toi.
Georg regardais et il trouva une petite ouverture.
Georg :- ne me dit pas que tu es là dedans!
Moi :- viens voir.
Georg :- je ne suis pas sur si je rentre dans ce minuscule trou...
Moi :- si j’entre, tu peux entrer deux comme toi. Alors...
Georg :- même pas vrai, tu es même plus mince que moi.
Moi :- tu m’énerve...
Georg :- t’es une psy qui aurait besoin d’un psy...
Moi :- je sais, et c’est pour ça qu’ils m’ont pris à ce travail.
Georg :- étrange, quand même...

J’avais décoré ce qui me servait de cachette à ma façon. Il y avait des photos de groupes que j’aimais, de mes amies, de moi quand j’étais petite et d’Alex. Alex, c’étais mon meilleur ami, quand j’étais petite. Il était parti trois ans avant, et je n’avais plus jamais eu de nouvelles de lui. Georg observait tout.
Georg :- wow, comment t’as décoré ça!!!
Moi :- je vais ici depuis environ 6 ans. C’est ma cachette quand je suis en colère, triste ou nostalgique.
Georg :- cette fois-ci, pourquoi es-tu allé là?
Moi :- j’en ai aucune idée.
Je devais surement être rouge pivoine. Moi qui rougis à un rien...
Georg :- pourquoi tu rougis?
Moi :- il fait chaud, tu ne trouves pas?
Quelle excuse bidon, j’espère qu’il n’a rien remarqué.
Il continuais à observer la pièce, quand, son téléphone sonna.
Georg :- oui?
Georg :- oui, oui, ne vous inquiétez pas.
Georg :- euh...
Il me regarda, je lui fit des yeux de chiens battus.
Georg :- non, je cherche encore.
Il raccrocha.

Moi :- c’était qui?
Georg :- tes amies...
Moi :- est-ce que tu leur as dit où j’étais?!?
j’étais affolée.
Georg :- isabelle, calmes-toi. Bien sur que non, je ne leur ai pas dit, je leur ai dit que je te cherchais encore.
J’étais soulagée. Comme je connais mes amies, elles auraient tété ici même me faire un sermon ou la morale. Ce qui me tentait le moins.
Moi :- merci beaucoup...
Georg :- de rien, c’est normal.
Moi :- mais vraiment, sinon j’aurais eu droit à un sermon sur les dangers du parc.
Georg :- tu devrais aller les voir, elles étaient tellement inquiète ce matin qu’elles m’ont criés dessus au téléphone
Moi :- désolé...
Georg :- pas grave, mais moi aussi, je me suis fait du souci.
Moi :- vraiment, je ne voulais pas vous inquiéter comme ça...

je veux une autre suite !!!!!!

Moi :- c’était qui?
Georg :- tes amies...
Moi :- est-ce que tu leur as dit où j’étais?!?
J’étais affolée.
Georg :- isabelle, calmes-toi. Bien sur que non, je ne leur ai pas dit, je leur ai dit que je te cherchais encore.
Moi :- merci, vraiment, sinon, j’aurais mérité un sermon et une morale...
Georg :- j’imagine, oui.
Moi :- non, mais vraiment, elles m’auraient obligé à faire le ménage de ma chambre!!!
Georg :- quelle pénitence!
Moi :- c’est pire que ça en a l’air.
Georg :- tu ne peux pas être plus bordélique que moi.
Moi :- tu serais surpris!
Il ri. Je souris.
Georg :- on devrait peut-être y aller, les rejoindre.
Moi :- mais...
Georg :- je te protégerais.
Moi (sarcastique) : mon héro.
Je me mis à rire.

oops

j'ai du oublier de saver le première, et elle s'étais effacé de word et j'en ai fait une autre complètement différente

Moi :- ok, mais tu me protège.
Georg :- mais bien sur!
Là, on était rendu dans in de ces délires...
Moi :- superman, à la rescousse des jeunes filles en détresse!!!
Georg :- t’es jeune toi?
Moi :- t’es plus vieux que moi, alors ne parles pas! Mais du coté du mental, je suis d’accord sur le fait que t’en as un d’un gars de 16 ans!
Georg :- parles pas! Toi, t’en a un ‘un enfant de 5 ans!
Moi :- et j’en suis fière!
Je m’esclaffai. Il fit de même. Cela continua tout le long de petit voyage à pied vers mon appart.on était bien vite rendu à la porte.
Georg :- allez, courage.
Moi :- plus facile à dire qu’a faire.!
J’ouvris la porte.

et ... ??? moi je veux la suite !!!!!! et vite !!!!

(3 mois plus tard)
Georg et moi étions proches comme les doigts de la main, il savait tout de moi, et moi, tout sur lui. Enfin, presque. Je lui avais cachés quelques petites choses. Il était parti ¾ du temps. Mais, il m’appelais au moins une fois par jour. J’avais fait le quiz dans le magazine, le quiz : est-ce que vous êtes amoureuse? C’est con, ça m’avait marqué : vous êtes follement amoureuse de lui, mais, vous ne voulez pas vous l’avouer. Ce n’est pas bon de refouler ses sentiments. Je savais que je l’aimais, mais je ne voulais pas souffrir...mon cellulaire sonna.
Moi :- allo?
... :- salut Zaza!
Moi :- je t’ai déjà demandé de ne pas m’appeler comme ça, georgounet!
Georg :- je sais, je sais, je te taquine!
Moi :- je sais bien, mais j’aime pas ça.
Georg :- fais pas la tête quand même!
Moi :- t’inquiète.
Georg :- j’ai une bonne nouvelle.
Moi :- c’est quoi?
Georg :- on va avoir des vacances à Hawaï!
Moi :- super.
Encore un mois où il allait être loin, très loin...avec des belles bronzées en bikini noix de coco! Non, pas de jalousie. je n’étais pas jalouse, en tout cas, j’essayais de me convaincre.

elle va avec ?????? JE VEUX LA SUITE !!!!!!